Dans une déclaration fracassante faite lors de l'émission "7Hebdo" sur STV, Valère Bessala a évoqué la récente controverse entourant la prétendue libération d'Amougou Belinga et Maxime Eko Eko. Selon lui, le président actuel du Cameroun n'a aucun intérêt à libérer ces deux hommes, car cela le placerait au centre d'une question cruciale : qui est responsable de la mort de Martinez Zogo?

L'affaire Martinez Zogo a récemment pris une tournure inattendue avec des informations contradictoires sur la libération d'Amougou Belinga et Maxime Eko Eko, deux personnalités liées à la mort du journaliste. Valère Bessala, intervenant lors de l'émission "7Hebdo", a émis une opinion forte sur les possibles motivations derrière cette confusion.

Valère Bessala a souligné que la libération de l'homme d'affaires Amougou Belinga et de Maxime Eko Eko mettrait le président actuel dans une position délicate. Selon lui, cette libération impliquerait indirectement le président dans la résolution de l'affaire Martinez Zogo. Si ces deux figures clés sont libérées, le président devrait répondre à une question cruciale : qui sont les responsables de la mort de Martinez Zogo?

La mort tragique du journaliste Martinez Zogo a laissé de nombreuses questions sans réponse. Les spéculations et les théories du complot ont entouré cette affaire, et la confusion récente concernant la libération présumée des accusés ne fait qu'ajouter à la complexité de l'enquête.

L'intervention de Valère Bessala met en lumière les enjeux politiques et judiciaires entourant l'affaire Martinez Zogo. La question de la libération des accusés soulève des interrogations sur la transparence du système judiciaire et sur la volonté de résoudre cette affaire de manière équitable.

L'affaire Martinez Zogo continue de diviser l'opinion publique, avec des déclarations fortes comme celle de Valère Bessala ajoutant une nouvelle dimension à la controverse. Alors que le Cameroun attend des clarifications officielles sur la situation, l'affaire reste un sujet brûlant qui souligne les défis persistants en matière de justice et de transparence.