Une atmosphère tendue règne à l'École Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC) suite à la suspension abrupte des cours pour tous les étudiants de deuxième année de journalisme. Le directeur de l'école, François Marc Modzom, est au centre d'un tumulte croissant, accusé par des internautes d'avoir pris une décision radicale et discutable.

L'annonce de la suspension des cours pour "indiscipline collective" a déclenché une vague de critiques virulentes sur les réseaux sociaux. Nathalie Angono, parmi d'autres, a exprimé sa colère, qualifiant le directeur de "fou". Les internautes ont remis en question l'implication des parents dans la réadmission des étudiants, estimant que cette mesure était dépassée et inappropriée pour des jeunes adultes.

Les réactions ont révélé un profond malaise concernant le fonctionnement de l'ESSTIC et le rôle de son directeur. Certains, comme Riphin Ngoppe, ont défendu Modzom en soulignant que les compétences disciplinaires lui étaient conférées par les textes réglementaires de l'école. Cependant, d'autres, comme Ngoudzo Dounla Alain, ont exprimé leur perplexité quant à l'absence apparente d'un règlement interne clair.

Pourtant, une recherche rapide sur le site officiel de l'école révèle l'existence de règles et de procédures disciplinaires. Il semble y avoir un décalage entre la pratique et les procédures énoncées. La situation soulève des questions sur la transparence et la cohérence de la gestion de l'école, ainsi que sur le leadership de François Marc Modzom.

Dans cette tourmente, les étudiants de l'ESSTIC se retrouvent pris entre une administration contestée et des règles disciplinaires floues. Il est impératif que des clarifications soient apportées et que des mesures soient prises pour restaurer la confiance et l'ordre au sein de l'établissement.