La pratique de l'homosexualité s'est répandue dans le pays. Brenda Biya, la fille du président de la République, ne s'en cache justement pas. Ajouté à de nombreuses affaires qui sont déjà sorties dans la presse et qui mettent en lumière les comportements homosexuels au sein même du régime, le lanceur d'alerte Paul Chouta se demande si la pratique est finalement une condition au RDPC, le parti au pouvoir ?

On se souvient encore de Roméo Dika qui accusait Grégoire Owona de vouloir lui défoncer le derrière pour régler sa facture. Bien longtemps avant cela, un article intitulé "Top 50" avait été publié dans les colonnes d'un journal à Yaoundé. Ledit journal indiquait que 50 personnalités du régime Biya-RDPC se livraient à des pratiques homosexuelles.

Le sulfureux Parfait Mbapou accusait le même Grégoire Owona et certaines autorités du RDPC d'avoir sexuellement abusé de lui. Avant sa mort, Charles Ateba Eyene affirmait en mondovision que Laurent Esso voulait l'initier dans des choses bizarres.

Le corps sans vie du jeune étudiant Djomo Pokam avait été découvert gisant devant l'hôtel Hilton à Yaoundé. L'autopsie indiquait qu'il avait sexuellement été abusée avant d'être assassinée. Des sources pointaient du doigt certaines pontes du régime, dont certaines à la présidence de la République.

Monseigneur Benoît Bala avait été enlevé et son corps découvert dans la Sanaga. Des rumeurs affirment qu'il avait été sodomisé par des hauts responsables à la présidence de la République. Dans une vidéo en circulation, un jeune en tenue d'Adam filmé depuis les bureaux du ministre Nganou Djoumessi, affirmait qu'il ne couchera plus avec lui.

Dernièrement, ce sont deux femmes militantes du RDPC qui s'amourachaient dans une vidéo virale en circulation sur la toile. Martinez Zogo a été enlevé et assassiné. L'autopsie a constaté qu'il a subi des chocs violents dans son postérieur. Ses bourreaux sont tous des membres du régime Biya-RDPC.

Dieu seul sait le nombre de jeunes Camerounais qui se font culbuter par les membres du régime Biya-RDPC. En conclusion l'on constate que c'est une pratique qui se fait sournoisement au sein du régime Biya-RDPC et est une condition sine qua none d'ascension et de promotion dans ce système vicieux.