La meilleure défense est l'attaque, tel semble être le slogan de l'ancien gabelous Nken Kome (sans prénom) alias Pinocchio, dans l'affaire dite de tentative de vol, d'une parcelle de terre appartenant à la succession Ngangue Keme.
30 ans après avoir versé un acompte de 300.000 FCFA sur 500.000 FCFA, visant à l'acquisition de 5000 M2 sur une parcelle de 2 hectares; ce douanier sulfureux et foncièrement malhonnête croit pouvoir s'accaparer de la parcelle restante 1 hectare et demi, en gagnant du temps.
Il ment comme Pinocchio...
Il faut mentionner qu'en 1994, feu Ngangue Denis le patriarche défunt avait remis le titre foncier mère de sa parcelle, au missi dominici de Nken Kome - son frère aîné Ntengue - comme gage de bonne foi.
Qu'en encaissant les 300.000 FCFA d'avance, il était censé recevoir le reliquat, soit 200.000 FCFA, deux semaines plus tard avant de formaliser ladite vente par-devant notaire.
Seulement, une fois en possession du titre foncier et nonobstant les multiples lettres et relances du patriarche Ngangue Keme, en vue d'un éventuel morcellement, Nken Kome avait préféré jouer la carte du dilatoire.
Il veut voler toute la parcelle…
En 2010, après la mort de feu Ngangue Keme, l'administrateur des biens de la succession s'est rapproché de sieur Nken Kome pour un arrangement à l'amiable, au terme duquel il avait été arrêté qu'il recevrait 3000 M2. Une promesse de vente faite par devant notaire et un protocole d'accord avaient ainsi été paraphés.
Alors que la restitution immédiate et sans conditions du titre foncier mère figurait en bonne place de l'aggiornamento. Force est de constater 15 ans plus tard que ce douanier au passé sulfureux n'a ni restitué ledit document encore moins, procédé à l'enregistrement du protocole d'accord au fisc.
Plus grave, il s'active dans l'ombre pour mettre l'administrateur des biens en minorité à travers des fausses soi-disant filles du patriarche défunt Ngangue keme, qu'il veut octroyer le statut de co-héritières. Alors qu'en réalité, Njowe Jeanine qu'il présente abusivement comme la sœur de l'administrateur, est un enfant né d'un commerce adultérin et qui n'a jamais été reconnu.