Les critiques du Professeur Franklin Nyamsi envers le candidat du Mouvement de la Renaissance du Cameroun (MRC) a amené les collaborateurs à fouiller les placards du grand universitaire, activiste anti-impérialiste.

Franklin Nyamsi est attaqué violemment par les militants du MRC après ses critiques vis à vis de l'opposant Maurice Kamto

Après Fosting Nzodjou, un autre collaborateur de Maurice Kamto, Aissatou Bouba Dalil a notamment exhumé des coupures de journaux où l'enseignant de philosophie est suspendu pour avoir détourné les deniers de son association.

Apparemment, ce sont des dossiers sales prouvées par la justice que l'activiste politique traîne comme casserole.

"Franklin Nyamsi a fini par me bloquer de son compte principal et pour moi, c'est une GRANDE VICTOIRE ! Une Victoire sur celui qui se croyait trop fort, et que le verbe tranchant d'UNE FEMME, de surcroît sa cadette, a fait fuir !
Comme d'habitude, il préfère se replier sur lui-même plutôt que d'affronter une femme qui, peut-être pour la première fois de sa vie, lui a tenu tête, ne mange plus de ses pains spiritueux et le lui fait savoir, exactement comme il se barricade tous les soirs entre quatre murs pour donner des leçons de bien-pensance à la terre entière ! Mais désormais, il prend garde à ne plus prononcer le nom de mon Leader dans ses envolées délirantes, il a donc compris la leçon. Le Procureur Nyamsi s'est soudainement mué en agneau presque dompté, réduit à ne parler qu'en parabole tant il a bien mesuré la FORCE de celui dont il jalouse la place dans le cœur des Camerounais", écrit Aissatou Bouba Dalil.

"Dans un de ses lives, il disait qu'il avait reçu la visite de deux journalistes qui lui ont posé la question de savoir quel pays aimerait-il gouverner pour y être installé ? Cette petite phrase a, du coup, une toute autre résonance depuis qu'il s'est autoproclamé Procureur virtuel, chargé (par lui-même) de convertir ceux qui s'y refusent encore, à ses thèses suicidaires. Aurait-il donc finalement accepté la proposition qu'il disait avoir reçue ? Celle d'être installé à la tête d'un État africain de son choix ? Ceci expliquerait cela !
Le nom de mon Leader ne doit plus être dans sa bouche aussi aisé à prononcer que ceux qu'il mâche à longueur de journée et torture entre ses mâchoires acérées. Pour ce nom si cher aux Camerounais, il y a des limites à ne plus jamais tenter de franchir. Il a fallu que ce soit UNE FEMME qui le lui fasse comprendre pour qu'il baisse d'un ton !", ajoute la membre du comité de direction du MRC.