Grosses explications faites ces dernières heures par rapport à Samuel Eto’o, le légendaire attaquant que toute l’Afrique et le monde a aimé à un moment donné de sa carrière si riche en buts et en performances abouties sur rectangle vert. Seulement, le Camerounais ne s’est pas uniquement concentré que sur le terrain gazonné, selon les révélations, pas d’une seule personne, mais de plusieurs.
Les choses dites à son propos, surtout celles qui provoquent de t’étonnement et scandalisent les fans en particulier et les observateurs en général, ne se sont pas arrêtées avec son accession à la tête de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot). Au contraire, elles ont pris plus de volume.
Eto’o est marqué par un ardent désir d’être le patron partout où il passe. Dans plusieurs entretiens avec les médias, il a confirmé cette ambition qu’il a toujours eue depuis tout petit. Mais à des moments précis, ses critiques lui reprochent d’exagérer et d’utiliser les autres comme des marionnettes pour parvenir à ses fins.
L’ancien numéro 9 de l’équipe nationale a maintenant une tâche, redonner au football national sa beauté et sa solidité. Sauf que lui-même n’irait pas bien physiquement pour faire ce travail. En apparence, tout semble aller pour le milliardaire, mais chez lui, quand il est seul ou avec sa famille, le mal est beaucoup plus visible.
C’est en tout cas ce que révèle une personne qui l’a beaucoup côtoyé à un moment donné de sa vie. Cette dernière dit : « Je vais répondre maintenant à Samuel Eto’o. Ernest Obama m’a dit que Samuel couche avec les hommes. Ernest Obama sait qu’il me l’a dit ».
L’histoire est que « j’étais en train de manger avec Ernest Obama et une fille et après la fille est partie. Ernest Obama me dit, Marlène est-ce que tu sais que Bruno Bidjang est homosexuel, je lui ai dit que non, je ne sais pas. Il me dit que même Samuel l’est, devant Dieu. Donc, assumez vos vies. Moi l’information qu’on m’a donnée tout à l’heure, c’est que c’est lui qui vous a demandé de venir m’insulter. Je dis que ça arrive, maintenant je vais répondre ».
Mais encore, avoue la narratrice, « Samuel, de sources sûres, je sais que quand tu dors, tu sursautes, tu te mets à parler seul, comme si tu fais la folie. Je le sais et pendant longtemps, on t’a soigné pour ça, je ne diffame pas ».