Un peu plus tôt dans la journée, nous faisions état de ce qu’une gamine qui vit chez une femme de média à Yaoundé serait brutalement torturée. On en manque même des mots pour qualifier l’acte. La journaliste en question est Lisette Ndi.

Dans un quartier de la capitale, la dame employée par le média public, la Cameroon Radio Television (CRTV), dépasse complètement les bornes. Son niveau de méchanceté laisse à désirer.

Lisette Ndi a brûlé les fesses de l’enfant de 9 ans avec du fer à repasser. Pour l’instant, on ignore ce que la petite a pu faire pour mériter un tel châtiment.

Mais peu importe ce que la fillette a fait, était-ce la meilleure façon de la punir ? Beaucoup de personnes iraient avec la négative. Et pour cause, la torture, surtout à un tel degré, est punie par les lois en vigueur dans le pays.

La fille est une élève dans un établissement de la ville, comme nous l’avons déjà souligné. Son enseignant a découvert qu’elle était mal à l’aise en classe et a donc voulu savoir ce qui n’allait pas.

Il a fini par découvrir la peau complètement arrachée au niveau des fesses de la petite. « La jeune victime dira subir depuis des années des tortures inhumaines qui lui sont infligées par celle chez qui elle vit et qui est la journaliste », lit-on sur une page d’information.

Mais encore, l’enfant serait victime de plusieurs viols. Précisément, sur la question des viols, plusieurs sources indiquent que ce n’est pas la journaliste Lisette Emeraude Ndi qui se cache derrière mais des hommes qui ont kidnappé la petite dans la partie du Nord du Cameroun avant d’arriver à Yaoundé. Ça reste à confirmer.

Madame le bourreau est aux mains des forces de l’ordre. Si c’est elle qui a fait ça, des voix s’élèvent déjà pour qu’elle réponde de ses actes.