Le Cameroun retient son souffle alors que le processus de nomination d'un nouveau directeur général à la Direction Générale de la Recherche Extérieure (DGRE) est en cours. Ferdinand Ngoh Ngoh, secrétaire général de la présidence de la République, a soumis sa troisième proposition de nomination pour ce poste au président Paul Biya, visant à remplacer l'actuel directeur général, Léopold Maxime Eko Eko.

Cette nomination est cruciale pour le gouvernement camerounais, car elle peut influencer de manière significative la politique et les activités du pays. L'attention du public est captivée par l'évolution de ce processus de nomination, dans l'attente de découvrir l'identité du nouveau patron de la DGRE et les raisons qui sous-tendent ces changements.

Depuis l'arrestation de l'ancien directeur général, Léopold Maxime Eko Eko, la DGRE a traversé une période tumultueuse. Alors que la nécessité d'une transition à la tête de l'institution est impérieuse, le président Paul Biya semble adopter une approche méthodique avant de prendre une décision définitive.

En attendant, c'est le commissaire divisionnaire Monkouop Mouminou qui assure l'intérim à la DGRE. Cette situation soulève des questions quant à l'avenir de l'institution et à la possibilité d'une réforme nécessaire.

Il est important de noter que l'approche caractéristique de Paul Biya, qui se manifeste par un sens du tempo distinct dans la politique camerounaise, signifie que la situation demeure en suspens, en attente de développements futurs. L'annonce imminente du nouveau patron de la DGRE est attendue avec impatience, car elle apportera des éclaircissements cruciaux sur le futur de cette institution clé du gouvernement camerounais.