Défouis sa sortie de prison, l'activiste Sébastien Ebala a multiplié des sorties qui semblent être des cailloux qu'il a jetés et qui risquent de lui tomber dessus et "casser sa tête".

Ebala s'en ai pris à presque une dizaine de personnalités camerounaises. Haman Mana, le colonel Emile Bamkoui, Paul Chouta… pour ne citer que ceux là.

Comme cela ne suffisait pas, il se met à s'en prendre à des communautés et à des groupes ethniques. Récemment, il c'en est pris aux populations du Noso à travers une sortie qui a attiré l'attention de plusieurs organisations de la société.

Selon CNA, Ebala a enfreint la loi camerounais relative aux discours haineux, lorsqu'il déclare que: "les femmes des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, vivant à Yaoundé, ne se lavent pas et ne se rasent pas… et devraient retourner à leur Buea et Bamenda et travailler dans leurs fermes". Il doit en payer le prix.

"La loi camerounaise punit les discours haineux et si elle est reconnue coupable, la personne encourra une peine de prison et paiera une amende.
L'article 241-1 du Code pénal dispose que quiconque, par quelque moyen que ce soit, fait des discours haineux contre des personnes ou les incite à la violence en raison de leur origine tribale ou ethnique, sera puni d'une peine d'emprisonnement d'un à deux ans et d'une amende de 300 000 à trois millions de FCFA", écrit la CNA dans un élément publié il y a quelques heures.