Actualités of Tuesday, 8 November 2022

Source: www.camerounweb.com

Sérail : voici les deux puissantes dames dans la garde rapprochée de Chantal Biya

Chantal Biya Chantal Biya

Elle est l’une des premières dames les plus influentes en Afrique mais reste discret tout de même. Chantal Biya, qui a fait une entrée fracassante à Etoudi en 1994. Depuis lors, elle a gagné en influence autour de Paul Biya. Jeune Afrique a fait un article pour révéler les éléments de sa garde rapprochée. Parmi eux, il y a deux puissantes dames de l’entourage de la première dame qui retiennent notre attention.


Jeune Afrique a mentionné le nom de Habissou Bidoug. « Cette professeure d’espagnol et enseignante en didactique à l’École normale supérieure de Yaoundé est l’une des pièces maîtresses du dispositif installé par Chantal Biya à Etoudi. Épouse du ministre Pierre Ismaël Bidoung Kpwatt, elle est devenue une proche collaboratrice de la Première dame, qu’elle a accompagnée à Pékin en mars 2018, en marge de la visite de Paul Biya en Chine.La secrétaire générale de la Fondation Chantal Biya a assisté à l’entretien de celle-ci avec Peng Liyuan, la Première dame chinoise. Comme pour consolider cette relation de confiance, deux mois plus tard, un décret présidentiel a propulsé l’enseignante au poste convoité de chargée de mission au cabinet civil de la présidence », c’est

Il y a également Nathalie Moudiki. « Amie proche de Chantal Biya, trésorière du Cercle des amis du Cameroun (association créée par la Première dame, à laquelle adhèrent la plupart des épouses de ministres, hauts fonctionnaires et diplomates), cette quinquagénaire a épousé en 2000 Adolphe Moudiki, le tout-puissant administrateur-directeur général de la Société nationale des hydrocarbures (SNH), où elle-même officie à la tête de la direction juridique. Indispensable bras droit de son époux au sein de cette entreprise qui assure la gestion des intérêts pétroliers du pays, elle a accru son influence au sein des cercles de pouvoir ces dernières années en raison de sa proximité avec la Première dame, mais aussi du retrait de son époux de la SNH, qui vit une partie de l’année à Paris pour des raisons de santé », précise Jeune Afrique.