Actualités of Wednesday, 4 May 2022

Source: www.camerounweb.com

SIDA : Dieunedort Kamdem livre les secrets des influenceuses (vidéo)

La vraie vie des influenceuses africaines La vraie vie des influenceuses africaines

Entre deux formations, le pasteur camerounais Dieunedort Kamdem trouve quelques minutes pour évoquer avec les internautes le scandale des jeunes filles africaines qui se livrent à des pratiques sexuelles déviantes sur à Dubaï. L’homme qui a fui le Cameroun pour s’installer en Côte d’Ivoire à causes poursuites judiciaires pour escroquerie, explique que ce phénomène n’est pas tant nouveau.

Dans sa congrégation, il dit avoir certaines influenceuses qui ventent aux internautes une vie loin de leur quotidien. Parmi celle-ci figurent des personnes atteintes du Sida et des fauchés.

« J'ai des fils et des filles qui sont connus comme des influenceurs. Ils sont d'une pauvreté abjecte. Il y a un qui est venu me demander de l'aider à inscrire son enfant à l'école. Pourtant il annonce partout qu'il a des villas. J'ai une qui est séropositive, quand tu la regardes, elle est comme un zombie mais sur les réseaux sociaux, son maquillage change tout », confie-t-il.

Pour Kamdem, les influenceuses ne sont pas de bons modèles pour la société. Elles font croire aux plus jeunes qu’elles peuvent eux aussi réussir leur vie sans étudier. Le pasteur dénonce l’attitude « permissive » des autorités gouvernementales qui accordent du crédit à ces personnalités.

Concernant les filles qui se livrent à la consommation de matières fécales à Dubai, Dieunedort Kamdem souhaite que les ambassadeurs des Emirats Arabes unis en Afrique soient convoqués afin de s’expliquer.



Morte à Dubai

Mona Kizz de son vrai nom Karungi Monic est une célèbre web influenceuse ougandaise. Elle s'est donnée la mort en sautant d'un immeuble de l'hôtel Al Fahad à Dubai. Une vidéo amateur a montré les derniers instants de la jeune dame de 23 qui s'est écrasée au sol devant quelques passants impuissants. Les raisons qui ont motivé l'influenceuse à poser ce geste fatal restent à déterminer.

Certaines sources évoquent une dépression. Ce drame intervient au moment où les influenceuses africaines sont au cœur de nombreux scandales sexuels. Mona Kizz faisait partie de ces jeunes filles qui font le culte de leur corps. Elle aime se filmer dans des postures osées et provocatrices. Mais rien pour l’heure n’indique qu’elle fait partie des influenceuses qui se livrent à des pratiques sexuelles déviantes à Dubai.

Tourisme sexuel

Le tourisme sexuel en vogue à Dubaï depuis plusieurs années déjà dévoile une petite partie de sa face cachée. Les internautes découvrent au jour le jour les pratiques sexuelles déviantes auxquelles se livrent certaines africaines à la recherche de célébrité et de richesse. Selon plusieurs recoupements, les candidates à l’aventure « paradisiaque » de Dubaï ne déboursent presque rien. Des agences spécialisées prennent en charge le transports, l’hébergement, la restauration et tous les besoins des filles durant leur séjour.

Une fois sur place, elles prennent connaissance des détails de leurs contrats. Les plus chanceuses, peuvent tomber sur des hommes qui veulent entretenir des rapports sexuels de manière ordinaire. Mais dans la pratique, ces filles sont soumises à des pratiques sexuelles extrêmes. Selon les confidences d’une influenceuse, la consommation des matières fécales des « clients » est une pratique courante à Dubai. Les prix varient entre 250 000 fcfa et 3 000 000 f cfa en fonction des ambitions des filles. Celles qui sont capables de consommer les excréments à même le sol touchent 1, 5 million F CFA , Celles qui exigent des serviettes et autres accessoires perçoivent 250 000 FCFA. Les plus audacieuses et les mieux rémunérées sont celles qui acceptent que les clients défèquent directement dans leur bouche. Elles touchent 3 000 000 FCFA. Un bonus de 500 000 est offert à celles qui avalent les excréments qui débordent sur leurs lèvres et joues.

Pour se faire le maximum d’argent, les filles sont contraintes de multiplier les clients. Les plus audacieuses finissent leur séjour à Dubai avec en moyenne 30 millions de francs FCFA dans les poches.