Quand il faut aimer, le journaliste de Vision 4 et directeur général du groupe L’Anecdote ne fait surtout pas les choses à moitié.
Bruno Bidjang alias Apikoro aime de façon très intense. Et lorsqu’il faut le prouver à la conjointe, il n’hésite pas comme on peut s’en rendre compte dans les lignes qui vont suivre.
On sait que Bruno Bidjang n’a pas toujours été en relation avec Ivana Essomba (sa femme actuelle). Avant elle, l’homme de média et fidèle collaborateur du milliardaire Jean-Pierre Amougou Belinga a connu d’autres femmes.
L’une d’elles est Alice Obiang, une personne pour laquelle Bruno Bidjang était prêt à tout. Le blogueur camerounais Peupah Zouzoua a bien conservé des photos des deux (02) tourtereaux. Elles datent de 2018, comme il le précise avec un ton moqueur qu’on lui connait très bien.
« Saint Valentin : Quand la terre était encore terre, Titanic d'Etam Bafia », titre-t-il. Dans la suite de son texte, on peut lire que « nous sommes le 14 février 2018, Apikoro offrait une voiture louée à sa dulcinée Alice Obiang jusqu’à faire une demande en mariage en mondovision ».
Le blogueur ajoute qu’après quoi, « un petit séjour à Kribi s'en était suivi jusqu’à ils avaient fait le complet complet des sans confiance à la plage. Ah oui oui, Apikoro était très fort hein. C'est Goliath de Soa que tu voulais voir ? ».
Enfin, il écrit : « Alice aussi, le rêve dans les yeux comme si c'était elle qui avait testé les glaçons qu'on avait vendu à Emilia Coco. En tout cas l'amour reste l'amour, on ne vous oublie pas, non jamais, vous êtes au creux de nous ».
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« Même prière avec le même emballage, oh Seigneur ! Bonne fête (de la Saint Valentin, ndlr) à tous », souhaite Zouzoua.
Bruno Bidjang n’est malheureusement pas libre en ce jour de la fête de la Saint Valentin pour faire plaisir à sa femme Ivana Essomba.
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Il est détenu dans le cadre de l’enquête mixte police – gendarmerie ouverte pour trouver les meurtriers du journaliste Martinez Zogo kidnappé dans un premier temps, torturé, mutilé, tué et jeté dans un quartier de Yaoundé dans la stupeur générale.