Récemment, une tribune intrigante de Romaric Tenda a ouvert une fenêtre sur l'imaginaire collectif du Cameroun, évoquant la possibilité d'une candidature présidentielle de la légende du football, Samuel Eto'o. Bien que ce rêve soit fictif, il suscite des questions légitimes sur les aspirations politiques de cet illustre sportif, ses ambitions potentielles et son impact sur la scène politique camerounaise.

Dans ce scénario onirique, Samuel Eto'o, autrefois maître incontesté des terrains de football, envisage une transition radicale vers le monde politique. Entouré de conseillers et d'équipes dévouées, il s'engage à œuvrer en faveur des couches vulnérables de la société camerounaise. Son plan prévoit des initiatives sociales et humanitaires destinées à démontrer son engagement envers les plus défavorisés, le distinguant ainsi de ses rivaux potentiels dans une éventuelle course à la présidence.

Cependant, ce rêve prend une tournure sombre lorsque le système politique en place semble déterminé à contrecarrer ses projets. Des menaces d'exposition publique de ses fautes planent, alimentant le doute quant à la viabilité de sa candidature et le soumettant à des risques juridiques majeurs.

Malgré ces défis, Samuel Eto'o, confiant dans sa notoriété et son influence, affirme qu'il est prêt à relever le défi d'une candidature présidentielle. Il pose cependant une condition : sa décision dépendra de celle de son "père" politique, le président Paul Biya, quant à une possible nouvelle candidature. Si ce dernier opte pour le retrait, Eto'o se dit prêt à se lancer dans la course, convaincu qu'il peut l'emporter.

Bien sûr, ce rêve reste purement imaginaire. Néanmoins, il incite à réfléchir aux aspirations politiques de Samuel Eto'o, personnage emblématique du sport et figure influente au Cameroun. Une transition de la scène du football à celle de la politique serait-elle envisageable pour cette légende vivante ? L'avenir seul nous révélera si ce rêve audacieux a le potentiel de se transformer en réalité.