Le maire de Sangmélima André Noël Essiane est dans un bras de fer contre l’autorité administrative du département notamment le préfet du Dja et Lobo MBA Bernard Marie. Toute chose qui confirmerait la thèse de l’existence de certains soutiens en sa faveur.
A l’heure où le Cameroun se trouve à la croisée des chemins, le chef de l’Etat Paul Biya soucieux de l’avenir de son pays et son engagement sans faille à laisser le Cameroun dans la prospérité est sur des starkings bloc.
Les individus tapis dans l’ombre manoeuvrent pour maintenir le peuple dans le statu quo. Les temps ont évolué et ne permettent pas que les adeptes des réseaux sataniques et obscurantistes influencent les acteurs de notre développement. Un message pour les élites locales de la circonscription politique du Dja et Lobo 1 qui se croient au dessus des autorités administratives et des forces de l’ordre affectées à Sangmélima.
Que gagnent-ils à peindre l’image de Sangmélima sous les couleurs d’une ville qui détruit les carrières des fonctionnaires alors que ceux-ci représentent l’autorité de l’Etat ? Hier c’était le cas Victor Yene Essomba, Ndongo-Ndongo, Bienvenu Abanda hués et humiliés par la même génération des politiciens. Aujourd’hui c’est le tour de Bernard Marie Mba préfet du Dja et Lobo depuis 04 ans, administrateur civil principal chevronné, pétrie d’expérience dans le commandement pour avoir servi le régime pendant les périodes politiques tendues au Cameroun entre 1990-1997 notamment les fiefs de l’opposition.
Voilà qu’un groupe de personnes s’acharnent sur un fonctionnaire de 54 ans et qui n’attend que le couronnement d’une carrière administrative bien remplie. Mais au-delà des élucubrations et mensonges à l’encontre du préfet relayé par une certaine presse aux ordres, il y a lieu de retenir que le Minatd René Emmanuel Sadi et le gouverneur du Sud ne sont pas dupes et ne sauraient arbitrer ce duel politique en faveur du maire et ses ouailles recensés au sein du conseil municipal de Sangmélima.
Que recherche vainement ces dénonciations calomnieuses contre le préfet jusqu’à lui attribuer les injures et le chantage contre le chef de l’Etat Paul Biya, son incapacité à construire Sangmélima comme Ahidjo de regretté mémoire l’a faite à Garoua. A l’évidence nous pouvons croire que les populations de Sangmélima à travers ces mensonges veulent se retourner contre Paul Biya.
Voici le portrait d’un homme au dessus des lois de la République: André Noël Essian.