Actualités of Monday, 28 August 2023

Source: www.camerounweb.com

Santé inquiétante de Paul Biya : le tout-puissant SGPR annonce un coup d'Etat imminent à Etoudi

Titus Edzoa a fait des révélations chocs sur l'après Biya. Titus Edzoa a fait des révélations chocs sur l'après Biya.

Jusqu'au moment où nous écrivons ces lignes, Paul Biya est toujours Président du Cameroun et est à Etoudi malgré les rumeurs d'évacuation sanitaire. Mais l'ancien SGPR Titus Edzoa annonce des mauvaises nouvelles en devenir pour Paul Biya et pour la Présidence du Cameroun.

En effet, dans un texte commis ce jour, le lanceur d'alertes Boris Bertolt indique que Titus Edzoa a fait des révélations chocs sur l'après Biya. Lecture.

« C’est dans une interview accordée au magazine Jeune Afrique en fin de semaine dernière. L’ancien proche de Paul Biya affirme à la question de savoir comment il envisage l’après-Biya: «Dans l’immédiat après-Biya, le pays devra impérativement passer par une période de transition, régie par un groupe de patriotes intègres, dont la mission principale devra être d’assainir de toute urgence le contexte socio-politique, en réhabilitant les fondements institutionnels de l’État. Ils devront aussi corriger les injustices agrantes, en mettant, avec vigueur, un terme à la Justice de la force par la force de la Justice ; faire un audit de la chose publique, piloté par les Camerounais eux-mêmes ; éviter les règlements de comptes ; refonder la conception de l’État-Nation, en incluant toutes les diversités pour une véritable unité nationale ; envisager des solutions concrètes pour mettre un terme à l crise des régions anglophones, dans un délai consensuel et raisonnable.

Les responsables qui accompagneront et dirigeront ce processus devront quitter la scène une fois ces urgences résolues. Quant à l’avenir du RDPC [le parti au pouvoir], sa survie ne dépend que de son président national. Si ce dernier venait à disparaître, il paraît plus probable que l RDPC s’éteigne avec lui. Un déluge conséquent risque de tout emporter... Pourtant, du fond du cœur, j’aimerais bien me tromper !».

Dans un contexte de résurgence des coup d’Etat en Afrique, ses mots prennent tout leur sens. »
lit-on chez Boris Bertolt.