Les périodes de fin d’année sont généralement les moments parfaits pour des pratiques ésotériques en Afrique. C’est durant cette période que plusieurs membres d’organisations secrètes renouvellent leurs alliances. C’est ce qui explique généralement les nombreux cas de crimes rituels généralement à partir du mois de novembre. Une internaute qui a requis l’anonymat explique dans ce témoignage, comment elle a sucé les plaies de son partenaire sexuel.
« Bonjour j’ai 28 ans et je suis en couple avec un bel homme d’une trentaine d’années depuis un an. Depuis le début de notre idylle il est l’homme parfait et me donne tout ce que je désire. Il ne me demandait jamais le sexe malgré tout. Il m’a loué une luxueuse maison de 650.000 francs le mois avec piscine. Il m’a offert deux voitures.
Malgré mes tentatives pour le faire succomber sexuellement il est reste de marbre et m’a dit qu’on le ferait au bon moment. Je ne l’avais d’ailleurs jamais vu à poil jusqu’à la semaine der-nière où il a enfin accepté que nous fassions l’amour.
J’étais enchantée mais j’ai vite déchanté quand j’ai découvert qu’il avait des plaies sur ses testicules qu’il m’a demandé de lécher . Il m’a menacé et j’ai accepté de le faire. Depuis quatre jours j’ai des malaises et je crache du sang. Je l’appelle il ne décroche plus. », confie-t-elle.
Ces pratiques deviennent récurrentes au Cameroun et dans de nombreux pays africains. Les jeunes filles qui rêvent d’une princière sont souvent des cibles faciles. Elles ne se posent jamais de question de question sur le train de vie insolent de leur partenaire. Elles se contentent de profiter de l’instant présent jusqu’au jour où elles découvrent qu’elles se retrouvent dans une histoire mystique. Généralement ces femmes servent de sacrifice pour les rituels de leurs partenaires sexuels qui sont prêts à débourser de fortes sommes pour atteindre leurs objectifs