• Sam Severin Ango a violemment bastonné sa femme NGO NTAMACK GENEVIÈVE
• Cette dernière est méconnaisable
• Le récit de la scène
Ce qui s'apparentait à une scène de ménage tourne peu à peu au drame.
Interpellé le mardi, 9 novembre 2021 à Douala et, singulièrement, au quartier Bonamoussadi par un commando du groupement de gendarmerie de Douala-Bonanjo et conduit au groupement en question puis mis en garde-à-vue prolongée et privée de téléphone, Sam Severin Ango a été déféré plusieurs fois au parquet et envoyé à la Police judiciaire(Pj) suite à une plainte de sa femme NGO NTAMACK GENEVIÈVE pour tentative d'assassinat et vol aggravé. Libéré pour défaut d'éléments d'aggravation, le journaliste vient de récidiver. Il a violemment bastonné cette dernière la laissant méconnaissable.
Le film de cette nouvelle scène de ménage à plusieurs épisodes nous est rapporté par Solange Ebessa, une proche de la victime.
Cette femme en images, totalement défigurée est l'épouse du journaliste Sam Severin Ango. Le couple a convolé en juste noces il y'a quelques années après un coup de foudre météorique.
Seulement, dame NGO NTAMACK GENEVIÈVE puisqu'il s'agit d'elle ne savait pas jusque-là dans quel bassin d'eau elle avait décidé de s'y baigner. Malgré les avertissements de ses proches, les mises en garde de ses propres enfants issus de son premier mariage ou encore les nombreuses interpellations de certains membres de la famille du Journaliste, dame Ngo Ntamack Geneviève n'avait que cure, car, pour elle, Sam Severin Ango était l'homme de sa vie.
Résidante permanente à l'île de Monaco en France, elle va entreprendre de nombreux voyages au Cameroun pour vivre son amour sans comptabiliser toutes les dépenses y afférentes.
En effet, dès leur rencontre, dame NGO NTAMACK GENEVIÈVE avait décidé de tout prendre en charge financièrement. Son mari étant au chômage. C'est ainsi qu'elle va refaire une lingerie à son homme qu'elle commandera depuis l'Europe, lui dotera de deux véhicules dont un Prado et une Yaris avant que n'arrivent plus tard une Mercedes puis une Juke nouvelle version.
La pauvre dame amoureuse ne va pas s'arrêter là. Elle proposera à son homme de lui construire une demeure chez lui à un jet de pierre de la ville d'Ebolowa. L'édifice ne tardera pas d'ailleurs à pousser du sol. La maman et les enfants du journaliste vont se voir doter d'une femme de ménage permanente, et les frais de scolarité, de loyer dans un appartement huppé de Yaoundé au quartier Nkolnda seront entièrement pris à la charge de Dame Geneviève Ngo NTAMACK. Tout ceci ,par amour pour son homme.
Seulement, malgré ces investissements consentis par dame Ngo NTAMACK Geneviève qui n'hésitait pas à laisser minimalement entre 3.000 et 5.000 euros à son époux Sam SEVERIN Ango tous les mois, ce dernier va en profiter tous les jours, en l'absence de son épouse, non seulement pour ramener des jeunes filles dans le domicile conjugal mais surtout, exercer des violences physiques à chaque fois que dame Ngo NTAMACK Geneviève son épouse, au Cameroun, lui exigera des réponses.
Le plus étonnant est que malgré tout, dame Ango supportait et espérait voir son mari de journaliste un jour changer. L'amour pardonne tout.
Elle lui pardonnera même son coup d'infidélité un jour à Ebolowa où elle le surprendra dans un hôtel en compagnie d'une fille de joie. Elle fera d'ailleurs la prison pendant un mois durant, après une plainte de son époux suite à la maison qu'elle a décidé de brûler par coup de jalousie.
Les deux tourtereaux ont néanmoins repris leur histoire quelque mois après et avaient même organisé une cérémonie de réconciliation dans un lieu huppé de la capitale politique en présence de quelques invités de choix. Comme pour consolider un nouveau départ , l'épouse de Sam Severin Ango va construire une nouvelle villa, évaluée à 60 millions de Francs CFA à ce dernier et va même lui ouvrir une société de prestation en bâtiment à Ebolowa avec deux marchés de livraisons gagnés au niveau des autorités de la ville par ses bons soins . Tout allait donc pour le meilleur.
Tout va pourtant basculer de nouveau quelques temps après alors que dame Geneviève Ngo NTAMACK venait d'arriver au Cameroun.
Alors qu'elle ne supporte plus l'irrespect que lui témoigne au quotidien son époux qui défile avec des filles de joie à Ebolowa en sa présence, elle va se replier sur soi.
Un conseil de famille va être convoqué dans la famille de Sam Severin Ango durant lequel ce dernier, après un accrochage verbal avec son épouse va lui asséner de violents coups devant ses parents et oncles et n'eût été la présence de quelques neveux, elle aurait perdu au moins un bras dans cette rixe.
La même soirée, après une légère accalmie, Sam Severin Ango va feindre de demander à son épouse de le rejoindre dans la chambre et le temps que celle-ci s'y retrouve, elle sera assommée au niveau de la nuque et au moment de s'écrouler, elle recevra un oreiller au niveau du visage comme pour attenter à sa vie.
Elle entrera dans un profond coma et Sam SEVERIN Ango en profitera pour emporter ses valises qu'elle venait de ramener de Paris dans sa voiture.
Dame Ngo NTAMACK Geneviève parle d'un montant de 30 mille euros qui se retrouvait dans ses valises y compris des téléphones, des parfums et d'autres objets de valeurs.
Elle sera néanmoins conduite dans un hôpital par la gendarmerie qui avait été appelée au secours à Ebolawa. Se retrouvant sans vêtements, sans argent et sans véhicule pour retrouver ses enfants à Yaoundé, ce sont des connaissances qui viendront plutôt la chercher à Ebolowa alors que son époux avait été localisé dans la ville de Douala.
La gendarmerie du Littoral qui avait été alertée mettra la main sur Sam SEVERIN Ango quelques jours plus tard et le temps que son épouse remonte à Douala, il sera gardé à la brigade durant 08 jours et l'affaire envoyée finalement au Tribunal de Grande Instance de Bonanjo.
Après de nombreuses interventions, l'affaire sera renvoyée au Tribunal de Première Instance de Bonanjo et Sam Severin Ango va bénéficier d'une liberté provisoire après versement d'une caution de 500.000FCFA.
L'épouse de Sam SEVERIN Ango dont on a décelé une infection au niveau de la poitrine après un scanner dans une clinique de Yaoundé est remontée en urgence en France grâce à l'aide de sa famille pour un traitement plus adapté. Le certificat médical de 40 jours, qui lui a été dressé par des médecins, ayant disparu bizarrement de la plainte au Tribunal, dame ANGO en est aujourd'hui à réclamer que justice lui soit rendue, notamment ses effets confisqués par celui qui est encore à ce jour son époux, malgré la procédure de divorce en cours.
La pauvre dame est retournée se faire soigner en France après la première audience qui s'est tenue au TPI de Bonanjo il y'a quelques jours.
La prochaine audience a fixée le 16 décembre 2021 au TPI DE BONANJO.
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