Depuis quelques heures, les réseaux sociaux et de nombreux sites d'informations se délectent à coeur joie de l'interpellation de cette jeune fille du fait de la publication de ces ébats sexuels sur internet. Au delà de sa condamnation, il faut questionner la responsabilité de l'État au premier chef qui à cause de la mondialisation a laissé que l'on fabrique de tel personnage considéré à tort par la jeunesse comme des modèles.
Christelle Atangana est-elle a plaindre ? Certainement oui, car elle a posé un acte qui porte atteinte à la pudeur. Cependant, est-elle la seule responsable ? Pas si sûre. Les raisons peuvent être trouvées par milliers, mais on peut relever parmi elle les plus importantes.
En effet, la jeune Christelle Atangana n'est que la résultante d'une société Camerounaise en chute de valeurs, dans un environnement où l'écart est devenu la norme et la norme un écart, une société où détourner des milliards est devenu une simple anecdote que l'on raconte au coin de la rue sans aucun remord. Alors pourquoi diffuser une sextape ne deviendrait pas une chose normale quand déjà ses aînés qui, pourtant considérés comme des exemples peuvent s'adonner à de telles pratiques.
Dans un pays où les coco Émilia, Nathalie Nkoah et bien d'autres sont des modèles, au points d'en inviter à la récente coupe d'Afrique des nations organisée au cameroun en VIP, on se demande ce qu'a voulu montrer le gouvernement de la République du Cameroun.
On est donc dans une société en perte graduelle de valeurs et la jeune Christelle n'est malheureusement qu'une victime. L'heure est grave. À quoi sert le ministère des affaires sociales au Cameroun ? Pas à grand chose visiblement. Ah , surement à organiser des symposiums ou colloques voire des séminaires de renforcement des ses capacités.
Au moment où la jeune fille passe sa première journée à la prison centrale de Yaoundé Kondengui, y étant déferrée tôt ce matin et logée au quartier des femmes , il est plus que urgent de questionner la société camerounaise toute entière et de remodeler nos valeurs.
Christelle est la face visible d'un phénomène grave de société et l'Etat doit prendre ses responsabilités pour mettre fin à cette décadence.
Depuis quelques heures, les réseaux sociaux et de nombreux sites d'informations se délectent à coeur joie de l'interpellation de cette jeune fille du fait de la publication de ces ébats sexuels sur internet. Au delà de sa condamnation, il faut questionner la responsabilité de l'État au premier chef qui à cause de la mondialisation a laissé que l'on fabrique de tel personnage considéré à tort par la jeunesse comme des modèles.
Christelle Atangana est-elle a plaindre ? Certainement oui, car elle a posé un acte qui porte atteinte à la pudeur. Cependant, est-elle la seule responsable ? Pas si sûre. Les raisons peuvent être trouvées par milliers, mais on peut relever parmi elle les plus importantes.
En effet, la jeune Christelle Atangana n'est que la résultante d'une société Camerounaise en chute de valeurs, dans un environnement où l'écart est devenu la norme et la norme un écart, une société où détourner des milliards est devenu une simple anecdote que l'on raconte au coin de la rue sans aucun remord. Alors pourquoi diffuser une sextape ne deviendrait pas une chose normale quand déjà ses aînés qui, pourtant considérés comme des exemples peuvent s'adonner à de telles pratiques.
Dans un pays où les coco Émilia, Nathalie Nkoah et bien d'autres sont des modèles, au points d'en inviter à la récente coupe d'Afrique des nations organisée au cameroun en VIP, on se demande ce qu'a voulu montrer le gouvernement de la République du Cameroun.
On est donc dans une société en perte graduelle de valeurs et la jeune Christelle n'est malheureusement qu'une victime. L'heure est grave. À quoi sert le ministère des affaires sociales au Cameroun ? Pas à grand chose visiblement. Ah , surement à organiser des symposiums ou colloques voire des séminaires de renforcement des ses capacités.
Au moment où la jeune fille passe sa première journée à la prison centrale de Yaoundé Kondengui, y étant déferrée tôt ce matin et logée au quartier des femmes , il est plus que urgent de questionner la société camerounaise toute entière et de remodeler nos valeurs.
Christelle est la face visible d'un phénomène grave de société et l'Etat doit prendre ses responsabilités pour mettre fin à cette décadence.