Actualités of Wednesday, 20 December 2023

Source: www.camerounweb.com

Site de rencontres : une fidèle de Dieu se fait violer à Douala

Viol avec utilisation d'une arme blanche Viol avec utilisation d'une arme blanche

Les viols se multiplient dans les quartiers de la capitale économique Douala. Les victimes les plus chanceuses sont laissées en vie. Les plus malchanceuses sont tuées et des parties de leur corps emportées pour des sacrifices dans plusieurs cas.

Nous avons appris qu’une femme a été violée sous la menace d’un couteau après avoir sympathisé avec un homme dans un site de rencontre.

La victime se confie : « Aujourd’hui, je viens dénoncer un certain Herman Njip nouvellement affecté à Douala au Guichet unique. Nous nous sommes rencontrés sur le site Chat et Yamo. Après discussion, je lui ai passé mon WhatsApp et après quelques jours, nous avons pris rendez-vous pour jeudi dernier.

Le rendez-vous de jeudi s’étant bien passé, le gars a demandé à ce qu’on se fasse un after work vendredi en compagnie de ses amis, chose que je n’ai pas décliné. Après la soirée de vendredi, au moment de rentrer il était sensiblement 3h-4h. Étant dans un quartier dangereux et ayant à peu près jugé la moralité de l’individu, j’ai préféré aller chez lui attendre 6h pour rentrer. Une fois chez lui, je me couche et le monsieur demande le sexe. Ainsi, je décline sa demande.

C’est ainsi que sans mot dire, il se lève et va prendre un couteau. Le temps pour moi de réaliser, le monsieur m’avait déjà saisi violemment au lit et mis le couteau sur mon cou me menaçant de mort. C’est ainsi qu’on a commencé à bagarrer sur le lit car je voulais récupérer le couteau entre ses mains.

Une fois le couteau récupéré, c’est ainsi qu’il me l’a repris et ayant vu le monstre en lui, j’ai opté par la méthode douce puis il a déposé le couteau. Il a continué à me violenter au point de me couper le sous vêtement.

Étant chrétienne, au début j’ai opté de laisser Dieu gérer son cas, raison pour laquelle je n’ai pas eu à prendre en images les dégâts après les faits. De retour chez moi, quelques jours plus tard et après amples réflexions, j’ai jugé mieux l’exposer pour que d’autres personnes ne subissent pas le même sort que moi ».