Il faut savoir dans quel combat s'engager. Son fils les a fait renvoyer de la maison, irritant le mari à prendre une décision irrévocable.

Je suis Éveline, je vis avec un homme depuis 8 ans déjà, j'ai un fils que j'avais eu quand j'étais encore au collège, mais qui ne vit pas avec nous puisque mon mari a refusé que je vienne chez lui avec mon fils.

J'étais obligée d'aller laisser mon enfant chez ma mère puisque son père biologique n'est plus depuis son enfance et mon fils a 21 ans aujourd'hui. Mon type vivait avec moi d'une façon méprisable, toujours fâché, grondé a tout moment pour un rien.

Il me lançait des mots tellement touchants et c'est ainsi qu'il me torturait dans sa maison. Plusieurs fois, mon fils a demandé à venir me visiter, il a refusé. Il y a de cela un mois, je l'ai supplié que mon fils vienne juste passer les vacances chez nous, mais il a refusé. J'ai tellement insisté et supplié avant qu'il accepte avec difficulté et j'ai fait appel à mon fils.

Il est venu malgré qu'il ne se sent pas à l’aise de la façon dont mon mari le regarde ou lui parle comme s’il était un enfant raté, bref tout se passait bien jusqu'à quand j'étais très malade et je n'ai pas pu préparer puisque je me sentais très faible, j'ai donc envoyé mon fils chez ma mère pour aller me prendre les remèdes indigènes qu'elle a faits pour moi et à son retour, il est tombé sur mon mari qui me menaçait au point de me gifler parce que je n'ai pas pu lui faire à manger.

Mon fils n'a pas pu supporter, il a sauté sur lui et ils se sont battus ensemble mais mon fils l’a dominé jusqu'à le racler et bloquer ses mains au sol en lui frappant sur la tête. Mon mari a sorti toute sa force mais il n'a pas pu se lever, au contraire, mon fils a pu attacher ses mains derrière le dos puis le fouetter avec le câble du courant.

J'ai voulu l'empêcher mais je ne pouvais pas, il était très furieux. Mon mari a crié et appelé tout le quartier avant que les gens sont sortis pour venir le retirer entre les mains de mon fils et directement après ça, il a ramassé toutes mes affaires qu’il a jeté dehors et a demandé qu'on quitte chez lui.

C'était vraiment brutal que le quartier est sorti et la honte voulait me tuer avec la maladie dans mon corps, bref nous sommes finalement rentrés chez ma mère, ça fait déjà une semaine (…).