Salomon Beas est actuellement l'homme le plus détesté sur la toile par les activistes pro-MRC sur les réseaux sociaux.

Il est reproché au militant du MRC, le soutien qu'il a apporté publiquement au président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), suite à une interview accordée par le coach des Lions indomptables à un site sportif belge.

"Salomon Beas… saches que c'est nous qui avons fait de toi, l'enfant du pays car on avait une totale confiance en toi. Mais si tu trouves que tu es déjà arrivé à destination, pardon, descend tout simplement du train. Nous allons continuer sans problème. Va retrouver Armand Noutack II et Jeans Crépin Nyamsi et cheminez ensemble", peut-on lire dans l'une des publications s'attaquant à Beas.

De quoi donner des arguments aux gens qui affirment qu'il est interdit aux militants du MRC d'être un fan de Samuel Eto'o…

"Salomon Beas tchop la tontine avec ses camarades du parti. Les militants du MRC ont perdu le nord. Ils oublient que Calibri Calibro est celui qui a donné le statut d'opposant reconnu sur le plan international au Président Maurice Kamto?
Dès qu'il avait donné un avis contraire sur les stratégies du MRC et de Maurice Kamto, ils ont aussi raconté les mêmes bêtises en disant que le pauvre Calibri est ce qu'il est derrière eux. Me Ndoki devenue femme du peuple n'a pas été épargné et chaque fois, la même phrase revient. Mon bébé Mado Kerharo et ma BS Villageoise Du Kwat ont même enseigné le droit à Ndoki dans les réseaux sociaux.
Mon frère Salomon Beas, il est interdit aux militants du MRC de supporter publiquement Samuel Eto'o. Maintenant, tu manges ton jangui au calme. Si Général Valsero est garçon, qu'il critique juste un tout petit peu le leader du MRC et il va connaître son vrai statut de rappeur immédiatement. De toutes les façons, Armand Noutack II est devenu un professeur des histoires inutiles sur Facebook alors qu'il était un brillant professeur d'histoire. La critique n'est pas permise au MRC au cas contraire, tu descends du bateau. Voilà un parti qui souhaite remporter les élections présidentielles, législatives et municipales qui chasse les militants. Nous allons tout voir avec les partis politiques de l'opposition au Cameroun. 2025 n'est plus loin", critique d'ailleurs Jean Crépin Nyamsi.