C’est la nouvelle qui déchire la toile depuis quelques heures. En plein milieu de l’affaire Baltasar qui n’en finit pas de faire parler, une autre histoire, toute aussi scandaleuse que la première, est dévoilée.
« Je sais qu’au Cameroun, il existe aussi des cas comme ça, mais qui ne sont pas encore révélés. Tôt ou tard, on entendre des choses pareilles et les yeux du monde entier s’ouvriront encore sur nous, comment nous mélangeons tout, le sexe et le travail, sans faire aucune distinction entre eux », se plaint un observateur lambda qui a mal au cœur de voir la gestion que font les élus et les nommés des institutions en Afrique.
En effet, le scandale dont il s’agit se passe en Côte d’Ivoire, un pays pourtant réputé pour sa discipline en matière de sports. La dernière Coupe d’Afrique des nations (CAN 2023) organisée en terre ivoirienne en est une parfaite illustration. Les Éléphants ont d’ailleurs remporté le trophée devant leurs supporters, provoquant une véritable liesse nationale.
Cette fois-ci, il ne s’agit pas du football, mais de taekwondo. La fédération nationale de taekwondo a été mise à l’arrêt suite à des affaires de harcèlement sexuel, avons-nous appris de sources sûres.
Il est question d’une athlète qui se confie au micro de Brut sans hésiter. C’est la championne ivoirienne, Mariama Cissé. Elle a raconté au média susmentionné le harcèlement sexuel qu’elle subissait de la part de son coach.
La pratique est malheureusement courante dans le domaine. Des fois, certaines fuitent, comme cela a été récemment le cas au Cameroun, avec un dirigeant d’une équipe qui forcent les joueurs à avoir des rapports sexuels avec lui en échange de belles promesses, notamment de les faire évoluer dans des championnats européens. Les vidéos partagées sur les réseaux sociaux par des lanceurs d’alerte étaient tout simplement ignobles.