Le ministre d’État, Secrétaire général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, en compagnie du ministre des Sports et de l’Éducation physique, Narcisse Mouelle Kombi ont effectué une descente sur le site du Complexe Sportif Olembe en vue d’évaluer l’avancement le reste du chantier devant être achevé. Le Journal Le jour N°3606 du jeudi 10 février 2022 est revenu sur le sujet.
. Le ministre d’Etat secrétaire générale de la présidence de la République, en compagnie du patron des Sports, ont fait une descente sur le site ce 9 février 2022.
Construction du complexe sportif d’Olembe phase 2. Ce n’est pas le titre d’un film. C’est bien l’après Can TotalEnergies Cameroun 2021. Le stade d’Olembe ayant abrité la cérémonie d’ouverture de la compétition et la clôture le 6 février dernier, n’est qu’une partie de ce que doit être le Complexe sportif. Ferdinand Ngoh Ngoh, le ministre d’Etat, secrétaire général à la présidence de la République, accompagné du Pr Narcisse Mouelle Kombi, ministre des Sports et leurs collaborateurs, ont effectué une visite sur le site du Complexe sportif d’Olembe, ce 9 février 2022 dans l’après-midi.
Il n’a pas été question seulement d’évaluer le reste de l’infrastructure à réaliser, mais aussi d'identifier les voies de contournement et de dégagement autour du site et d'étudier la faisabilité d'un village olympique. D’où la présence de Yohann Ropital, le chef de projet Magil, et des responsables de Razel. Pour engager cette deuxième phase, il est question de faire le point sur les dépenses qui ont été déjà faites et de voir ce qui reste à payer pour la réalisation totale et complète du Complexe sportif d’Olembe, tel qu’il était prévu.
A ce jour, l’on parle de 110 milliards FCfa déjà dépensés et qu’il reste 55 milliards FCfa à débourser pour le reste des travaux à engager. Le village olympique qui s’ajoute aux travaux initiaux va gonfler la note. Mais, il s’agit probablement d’un projet dont le financement est disponible au Comité national olympique et sportif du Cameroun. Sinon, c’est l’Etat qui payera ce surplus de dépenses. Selon nos informations, la date de la reprise effective des travaux par Magil et Razel n’a pas encore été fixée. Tout comme les délais de livraison qui n’ont pas été évoqués. Cette descente sur le chantier d’Olembe fait croire qu’on ne vivra pas le syndrome du stade de Mfandena qui, après la Can de 1972, a vu les travaux des autres composantes du site disparaître et les espaces aujourd’hui occupés par les populations. L’on avait imaginé ce scénario pour le Complexe