Dans un article exclusif, Jeune Afrique met en lumière le récent engagement politique de Franck Biya, fils aîné du président camerounais Paul Biya. L'article, basé sur des informations recueillies par Jeune Afrique, souligne que Franck Biya a officiellement adhéré au Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) le 6 novembre dernier.

C'est à l'occasion des célébrations du 41e anniversaire de l'accession de son père à la présidence que Franck Biya a rejoint la cellule de Nice, section France-Sud du RDPC. Les implications de cette adhésion suscitent des spéculations quant à une éventuelle incursion plus formelle de Franck Biya dans la politique camerounaise.

Dans une vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux, Franck Biya exprime ses motivations en soulignant son engagement à soutenir son père, le président Paul Biya. Les rumeurs sur les ambitions politiques de Franck Biya ont circulé au fil des années, faisant de lui un possible successeur potentiel à la tête de l'État camerounais.
Jeune Afrique rapporte les déclarations de Franck Biya, qui, tout en évitant de confirmer ou d'infirmer ses ambitions politiques, insiste sur la clarté des statuts du RDPC et la position du "leader naturel" du parti, son père Paul Biya. Il souligne l'importance de rester fidèle au message et de suivre les orientations définies par le leader actuel.

L'article met en lumière la récente visibilité accrue de Franck Biya sur la scène publique, avec des apparitions à des événements officiels, des rencontres avec des personnalités internationales, et des signes apparents de soutien populaire sur les réseaux sociaux. L'auteur souligne également la prudence de Franck Biya à clarifier ses intentions politiques tout en exprimant sa volonté de soutenir des initiatives positives.

Franck Biya, longtemps resté dans l'ombre de son père, semble émerger de l'ombre, avec un bureau au palais d'Etoudi et des mouvements de soutien appelant à sa candidature à la présidence. L'article conclut en notant que le chemin politique pour Franck Biya, s'il décide de le prendre, ne sera pas sans défis compte tenu des dynamiques politiques complexes à Yaoundé, comme révélé par Jeune Afrique.