Un fameux représentant de la communauté LGBT+ avait prévu de rallier le Cameroun pour un plan bien précis. Seulement, il avait sous-estimé la capacité du pays dirigé par Paul Biya à se montrer parfois inflexible sur les valeurs qu’il s’est définies. Maintenant il le sait et l’État vient d’envoyer un puissant message à la France ainsi qu’au monde entier.

Le Français a été obligé d’annuler son voyage, face au refus catégorique du Cameroun de fermer les yeux sur ce phénomène qui se répand dans le monde entier, avec des droits qu’on promeut pour les personnes homosexuelles (lesbiennes et gays), bisexuelles et transgenres.

L’activiste et partisan du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) Claude Wilfried Ekanga suit de près cette actualité, tout comme le récent voyage de Paul Biya en France. Il est place quelques mots : « Double Sim TV. Ndepso news. Hier soir, Paul Biya est arrivé à Paris, sous invitation d'Emmanuel Macron, dans le cadre d'une conférence sur le Pacte financier mondial ».

Le collaborateur de l’opposant Maurice Kamto concède que « dans ses valises, l'homme de quatre-vingt-dix (90) ans a emmené deux (02) de ses malfrats préférés : Louis-Paul Motaze (l'homme qui finançait Jean-Pierre Amougou Belinga, l'assassin de Martinez Zogo) et Emmanuel Nganou Djoumessi (l'homme qui a croqué 450 milliards sur à peine 60 km de l'axe Yaoundé-Douala, et qui est directement responsable du décès tragique de Cabrel Nanjip le 15 juin dernier) ».

Mais aussi pense-t-il, « après qu'ils ont vendangé l'argent prêté par la EximBank of China et par les bailleurs de fonds européens, voici notre gang de brigands qui s'en va de nouveau tendre la main. Cette fois, Macron a prévu d'expliquer à Paul Biya dans quelles conditions se feront les nouveaux emprunts, et vous pouvez déjà vous attendre à ce que la question de la double Sim au pays des Crevettes intervienne dans les discussions ».

Claude Wilfried Ekanga clame très fort que « l'ambassadeur de la puce multiple, recalé par Mbella Mbella et qui a dû annuler sa venue au pays des Crevettes, est déjà allé pleurer à l'épaule de son président, et ce dernier tentera à coup sûr tôt ou tard une contre-offensive ».

Car, « si vous pensez que celui à qui vous demandez de l'argent vous le donne par amour pour vous, si vous pensez qu'il va vous laisser vous moquer de lui comme ça alors que vous avez du mal à financer de simples couveuses dans vos hôpitaux, c'est que vous croyez au père Noël. De toutes les façons, bonne connexion », conclut le militant.