• Il s’agit d’un terrible rebondissement

• L’affaire a fait au moins 5 morts

• Elle avoue être à l’origine du drame

L’affaire d’empoisonnement d’un plat de taro à Melong, une commune du Cameroun située dans le département de Moungo et la région du Littoral, n’a pas encore livré tous ses secrets. Alors que la thèse de l’empoisonnement était remise en cause avec une épidémie de choléra, l’on s’achemine vraisemblablement à un nouveau rebondissement. En effet, une femme aurait avoué le crime. C’est la « bombe » que le lanceur d’alerte N'zui Manto, vient de sortir, après avoir eu des informations de sources policière.

Les faites sont d’une extrême gravité. Et si c’est une crise de jalousie qui conduit au meurtre de 5 personnes, alors là, on est chez les « dingos »

« Il y'a de cela quelques jours, la toile était stupéfaite d'une cascade de morts dans la ville de Melong après que des clients aient consommé du Taro dans un restaurant. Autorités et médecins de la ville étaient unanimes sur l'identité du principal assassin : Le choléra. Personne n'était prêt d'imaginer que derrière ces morts se dissimulait une affaire de piment dont son goût aigre fin finirait par rendre la suite des événements amères. C'est à la gendarmerie de Melong qu'une femme interpellée dans le cadre de l'affaire va décortiquer l'affaire face aux gendarmes bouche bée. En effet cette dernière qui entretenait des relations adultérines avec le mari d’une femme ayant un restaurant, animée par un esprit de jalousie avait réussi à mettre du poison dans la nourriture destinée à la vente. Un restaurant dont la spécialité était le taro. Plusieurs clients après avoir consommé le fameux mets vont s'écrouler les uns après les autres. 5 morts et plusieurs hospitalisés sur le carreau !!!! », publie le lanceur d’alerte

« Les enquêteurs ébahis, interloqués et effarés par le récit abracadabrantesque de la sorcière vont dans un premier temps retiré leurs bérets en signe de respect avant lui mettre des menottes direction le parquet de Nkonsamba », poursuit le lanceur d’alerte.

Si cette thèse s’avère finalement, cela remettrait inéluctablement, la version des officiels qui évoquaient une épidémie de Cholera