Enlevé pendant qu'il rentrait chez lui devant le portail d'un camps de gendarmerie, Martinez Zogo a été retenu captif à Ebogo 3, non loin de là où son corps a été retrouvé.
Il a été frappé, fouetté, son oreille a été coupé, les os de ses côtes ont été brisés, ses ongles ont été arrachés avec des pinces, il a fait une crise d'asthme pendant qu'on le torturait.
Le commando qui l'a enlevé a introduit une barre de fer dans son anus. Certains experts affirment même qu'il a pu être s0d0misé par un des éléments de la DGRE qui l'ont enlevé.
Comme une chose, il a été torturé avec bestialité pour avoir dénoncé les détournements massifs de fonds des autorités en complice avec des hommes d'affaires comme Jean Pierre Amougou Belinga.
Un film intitulé "Il était une fois Martinez Zogo" épisode 2 va être bientôt diffusé par Vox Africa et les médias sociaux, le 12 juin à 20 heures GMT.
Ce film retrace l'horreur et les témoignages sur cet assassinat qui est sans doute l'un des plus violents d'un journaliste en Afrique et au Cameroun. Il sont nombreux dans ce cas. On peut parler de Jules Koum et Alfred Wazizi.
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