• Les cas de viol sur mineure inquiètent

• La situation devient plus alarmante

• Un enseignant a abusé de son élève

C’est à Yassa que le crime a été commis. Yassa est une banlieue située au Sud-Est de Mbanga Bakoko et au Nord-Est de Yatika. Le maître, probablement instable d’un point de vue psychologique, a violé allègrement et de façon inhumaine la petite fille qu’il est censé enseigner.

L’acte a été tellement violent pour la gamine que son corps ne l’a naturellement pas supporté. Le sang est sorti de son entrejambe et les faits ont été constatés à l’hôpital avec des séquelles causées par la pénétration.

Douala la capitale économique du Cameroun est chargée d’actes criminels qui laissent l’opinion publique nationale et internationale bouche bée.

Le lanceur d’alerte Nzui Manto n’en revient pas. « Douala, Yassa. Un enseignant du groupe scolaire bilingue La réussite de Yassa viole dans l'établissement une enfant de deux (02) ans et demi », écrit-il.

Selon ce qu’il raconte, « le crime a eu lieu aux heures des cours et à l'intérieur de l'établissement. L'enfant âgée de deux (02) ans et demi a été voilée par l'enseignant Ndoum Alfred ». Cruel cet enseignant !

En effet, « la mère de la jeune victime va constater après la sortie des classes que sa fille ne cessait de pleurer et c'est après plusieurs observations qu'elle va découvrir du sang répandu dans sa culotte ».

Immédiatement précise la source, « elle va conduire aussitôt l'enfant à l'hôpital où après des examens, sera établi un certificat médical confirmant le viol de l'enfant ».

« Après des enquêtes de la gendarmerie, l'enseignant sera interpellé et la victime de deux (02) ans et demi va clairement l'identifier comme celui qui a abusé d'elle. La famille de l'enfant a d'ores et déjà annoncé qu'elle portera plainte contre l'établissement », assure le narrateur.

Justice est déjà demandée pour cette enfant : « Je crois que la famille devrait faire un tour au village afin de castrer mystiquement et de manière irréversible ce mécréant à partir du caleçon taché de sang de notre petit ange. C'est infernal cet acte », reconnait un observateur tout autant furieux que la famille.