La tragédie survenue à Mbankolo a causé d'énormes souffrances pour de nombreuses familles. L'histoire de Békou Moumbé Gwlandys Laurince, qui est enceinte de 7 mois et portée disparue depuis la catastrophe, est particulièrement déchirante.

Avec le décès de plusieurs de ses proches, cette situation est une double peine pour sa famille. Les autorités camerounaises devraient intensifier les efforts de recherche pour retrouver les victimes disparues, peut-être en mobilisant des chiens renifleurs ou d'autres moyens de recherche. Cette tragédie est une illustration poignante des conséquences dévastatrices de tels événements.

Outre les nombreux morts enregistrés dans la tragédie survenue à Mbankolo dimanche dernier, il y a encore des victimes introuvables dont les familles sont sans nouvelles jusqu'ici. C'est le cas de la jeune compatriote ci-dessous qui est enceinte de 7 mois.

Elle s'appelle BEKOU MOUMBE Gwlandys Laurence, mariée et mère de deux filles. Âgée de 35 ans, cette Ingénieure Statisticienne en service au Ministère de l'économie, de la planification et de l'aménagement du territoire en abrégé Minepat fait partie des disparus de la catastrophe de Mbankolo. Jusqu'ici elle reste introuvable alors que les recherches ont été arrêtées depuis hier.

Lorsque survient la catastrophe, Laurence alors enceinte de 7 mois, célébrait l'anniversaire de sa fille Matsingoum Iliana. La plupart des invités étaient déjà rentrés. À la maison, il ne restait plus que BEKOU MOUMBE Gwlandys Laurence, son mari Tagne David, ses deux filles Matsingoum Iliana et Maka Tagne Jane Serah, sa belle-mère Mateugne Pauline, sa mère et sa belle-sœur. Soit un total de 7 personnes.

Sa fille Maka Tagne Jane Serah, sa mère, sa belle-mère et sa belle-sœur ont rendu l'âme dans ce drame. Leurs dépouilles sont à l'hôpital central de Yaoundé. Son mari Tagne David et sa fille Matsingoum Iliana sont sous soins aux Cury.

Gwlandys Laurence quant à elle est jusqu'ici introuvable pourtant les fouilles sont déjà stoppées. C'est une double peine pour cette famille déjà assez éprouvée. Les autorités camerounaises devraient plutôt renforcer les recherches avec les chiens renifleurs pour trouver les victimes disparues.