Actualités of Thursday, 4 November 2021

Source: www.camerounweb.com

URGENT : Jean Louis Batoum et Clotaire Nguedjo déférés au parquet de Ndokoti

Jean Louis Batoum et Clotaire Nguedjo déférés au parquet de Ndokoti Jean Louis Batoum et Clotaire Nguedjo déférés au parquet de Ndokoti

Jean Louis Batoum et Clotaire Nguedjo tous, cadres du PCRN sont actuellement en cellule au parquet du tribunal de première instance de Ndokoti. Si Jean Louis Batoum vient de passer sa première nuit à la brigade de Ndogbat, son ami Clotaire Nguedjo est devenu un habitué des lieux. Il y est détenu depuis le 1er novembre 2021. Les deux collaborateurs de Cabral Libii seront présentés au procureur de la République dans les prochaines heures.

Selon les informations glanées par la rédaction de CamerounWeb, il est reproché à Jean Louis Batoum, Clotaire Nguedjo, Fritz Messey Messey et Julien Bapes Bapes des faits de diffamation, atteinte à la vie privée et autres infractions sur la jeune Mirabelle Lingom présentée faussement comme une actrice dans un film à caractère pornographique.

Le PCRN a officiellement fait une sortie le 3 novembre 2021 dans laquelle elle qualifie la poursuite en cours d’acharnement politique. Le parti de Cabral Libii estime que ces attaques sont orchestrées par les militants du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun. Il réaffirme son soutien à Clotaire Nguedjo et précise qu’il n’a jamais été poursuivi pour viol ou assassinat.

La sortie du PCRN a été une occasion pour l’ancienne journaliste d’Equinoxe Tv, Kate Djiaha Tchelibo de révéler le vrai visage des cadres du parti de Cabral Libii.

« Après l’émission, je suis devenue leur cible : menaces de mort, insultes, interpellations, mensonges, tags mais comme je connais cette stratégie j’ai choisi de ne pas répondre pour ne pas déplacer le débat. Mais les captures d’écran sont disponibles et seront utilisées au moment opportun. Vous me demandez si j’ai appelé les deux autres mais laissez-moi vous dire que: ces deux individus qui étaient particulièrement insultants avec Mirabelle n’avaient pas à se retrouver sur le même plateau qu’elle. Cela s’appelle de la protection de victime, c’est élémentaire! », a-t-elle répondu à Anne Féconde NOAH, porte-parole du PCRN.