Actualités of Wednesday, 2 March 2022

Source: www.camerounweb.com

URGENT : un sous-préfet, un maire et un proche de Biya tués dans une puissante frappe

5 personnes sont morte dans une attaque des ambazoniens ce mercredi 5 personnes sont morte dans une attaque des ambazoniens ce mercredi


• Frappe mortelle des ambazoniens ce mercredi

• 5 personnes mortes ce mercredi dans une attaque des Ambazoniens

• Un sous-préfet et un président de section RDPC parmi les victimes


C’est une frappe sans précédent menée par les hommes armés non identifiés. Les Ambazoniens ont mené une attaque ce mercredi 2 mars 2022 aux environs de 11 heures 30 minutes.

Selon les premières informations parvenues à notre rédaction, le véhicule qui transportait les victimes a sauté sur un engin explosif improvisé en zone anglophone et principalement dans le Sud – Ouest.

Bilan, 5 morts dont un sous-préfet et un président de section RDPC. Les victimes identifiées au cours de l'attaque ekondo-titi ce jour sont :

- TIMOTHÉE ABOLOA (Sous-préfet)
- NANJI KENNETH (Maire)
- MEH STANLEY (Chauffeur s/p)
- EBEKU WILLIAM (Président section Rdpc)
- Adjudant AKONO du Bafumar Sécurité s/p

Cinq personnes ont donc trouvé la mort au cours de cette opération des forces ambazoniennes.

Ambazonie : après l’arrestation de ses proches, No Pity fait une violente réaction

Nous l’annoncions il y a quelques jours. Des parents et proches de No Pity étaient arrêtés et remis au SED.

Quelques heures après cette arrestation, c’était au tour du puissant Field Marshall.

No Pity, après ces moments indésirables, a fait une violente réapparition. En effet, un homme engagé par la gendarmerie de Babessi pour infiltrer les Ambazoniens, a été abattu par le général No Pity.

C'est après une embuscade de l'armée contre No Pity il y'a de cela quelques jours, que l'individu sera arrêté par les ambazoniens qui d'après eux, recevra un appel téléphonique du commandant de la brigade de Babessi lui demandant de quitter le village alors que ce celui-ci était entre leurs mains.

La réaction de No Pity ne s’est pas fait attendre. Elle a été véritablement sans pitié. Le général a abattu l’homme. Une probable réponse à l’arrestation de ses proches.

Des parents et des proches de No Pity arrêtés

Dans alerte publiée il y a quelques heures, le lanceur d’alertes N’zui Manto et les responsables de la plateforme 237 infos, informent les Camerounais que les parents, ainsi que plusieurs proches du général ambazonien ont été arrêtés par des hommes en tenue.

Des membres de la famille du général Ambazonien No Pity ont été transportés après leurs arrestation à Yaoundé et séjournent depuis quelques jours au SED.

Notre confrère a même donné les noms des personnes arrêtées et détenues au Secrétariat de la Défense.

"Il s'agit de son père, sa mère ses oncles et sœurs dont voici quelques noms :
Francis Bigiwe, Sandra Yashuo, Gladys Yaoukubu, Tata Romeo, Douglas Liaimen, Lizette Lemnyuy, Godlove Bigine", écrit le lanceur d’alertes.

D'après des informations diffusées par la plateforme Klein Reporters, il a y a quelques jours, le général ambazonien autoproclamé, "No Pity" essaie de faire du triangle Bambalang - Noun - Ndop son nouveau terrain de chasse.

"No Pity et sa bande sont actuellement sur la lisière Bambalang - Noun dans une rivière du côté de l'antenne orange a Bambalang. Il a de nouveau une pirogue pour le permettre de s'échapper via les eaux si les forces en face ont une puissance de feu supérieure a la sienne. Son triangle d'action actuel est Bambalang - Noun - Ndop…", écrit Klein Reporter dans une récente publication.

L'homme qui a été annoncé mort début janvier, n'est pas le général No Pity. Ce dernier a été aperçu il y a quelques jours. Visiblement en forme et bien entouré, l'homme a été aperçu en train de s'adresser à la population, qui, soutient Klein Reporters, l'acclamaient.

"Voici l'une des rares images de No Pity apparu ces heures a dans le Nord-ouest Cameroun. Après avoir apparu pour une activité Signalée aux autorités, une semaine durant laquelle des sites le disait mort. Il réapparaît ces heures entouré d'une population qui l'acclamait".