C’est une année dont le bilan à mi-parcours en termes d’assassinats, fait froid au dos. Le comble c’est que les personnes d’une même famille se tuent pour des raisons qui ne sont pas vraiment soutenables. Le jeune dont l’histoire va suivre, a aidé son proche à aller dans l’au-delà.
Les faits se déroulent à Yaoundé, plus précisément au quartier populaire Nkolbisson. C’est là qu’un « porteur de fer tue son oncle avec un coup de poing ».
La source Nzui Manto fait des précisions importantes : « Visage très connu à Nkolbisson le nommé Onana alias "petit lion", habitué à dépouiller les clients des bars, a mortellement assommé d'un coup de poing hier soir son oncle, papa Onana ».
En effet, « quelques heures plus tôt dans la journée l'assassin s'était rendu dans un bar où se trouvait sa victime et lui promettait la mort. Nul ne pouvait imaginer qu'il mettrait ses menaces à exécution ».
Manto continue sa narration en disant que « capturé, le criminel se trouve en ce moment à la brigade d'Okola et attend son certificat d'admission de la prison de Kondengui où une salle de musculation toute neuve sera mise à sa disposition pour les quatre-vingt-dix (90) prochaines années ».
Mais qu’est-ce qui a bien pu amener le gros bras Onana à frapper son oncle : « Tout cela à cause du terrain d'après ce que j'ai appris. Apparemment ils ont l'habitude de se disputer à cause des choses comme la nourriture, le terrain. La dernière fois, les Chinois ont partagé les porcs aux natifs de la zone y compris à ce monsieur. Une dispute a d'abord éclaté pour partage non équitable », raconte un témoin.
C’est terrible selon les internautes. L’histoire est tellement incroyable qu’elle est difficile à avaler facilement : « Hum, histoire vraie ? Ou elle manque seulement de détails ? Comment le meurtre peut être commis à Nkolbisson (Yaoundé) dans un bar avec toutes les forces de l’ordre qu’il y a précisément dans cette localité, mais le meurtrier se trouve gardé dans la gendarmerie d’Okola. A-t-il pris fuite après le forfait ? À quelle heure s’est passé l’assassinat ? N’y avait-il personne d’autre dans ce bar pour pouvoir alerter les forces de l’ordre ? Autant de questions que je me pose ? ».