Entre le plaisir charnel et sa dignité, il a préféré choisir la deuxième option. L’encadreur d’élèves de l’établissement a réfléchi et trouvé mieux de laisser tomber son métier que de continuer pour finalement perdre son honneur.

Je n'aimerais pas vivre dans la honte. Laissez-moi vous dire ce que je vis depuis ces 3 ans. Je suis un homme et j'ai mes faiblesses, je subis la pression des jeunes élèves filles.

Chaque année, j'ai des propositions de filles pour coucher avec elles, et en échange, je leur donne les devoirs en avance pour qu'elles aient les meilleures notes.

Si c'étaient 2 ou 3 filles, je pouvais gérer, mais cette année, j'en ai eu plus d'une dizaine de propositions. Des filles que même en rêve, je sais que je ne peux pas m'approcher d'elles. Des filles très, très belles avec des formes qui pourraient faire saliver n'importe qui.

Il y en a qui viennent en voiture, en scooter, ce n'est même pas à mon niveau. Je ne sais pas comment elles font pour connaître ma maison, mais elles viennent dans des vêtements pas très catholiques, et si tu n'es pas fort dans la tête, tu tombes dans le piège.

Entre-temps, j'ai entendu des rumeurs disant que je recevais les lycéennes chez moi chaque samedi soir et dimanche, et que ce n'était pas clair. À l'école, j'évitais de rester seul dans mon bureau avec les filles parce que j'avais peur qu'elles puissent crier et me créer des problèmes (un collègue a vécu ça).

Les nudes, j'en ai reçu, des images de seins pointus, de fesses dans des strings et un message me disant que si je veux toucher ses seins ou coucher avec elle quand, comme et où je veux, il me suffit d'accepter de donner les devoirs et j'ai son corps plus 50 000 francs, et sincèrement c'est très tentant, c'est presque la moitié de mon salaire.

À l'allure où vont les choses, je savais que j'allais finir par craquer. J'ai préféré démissionner pour des raisons personnelles, et je suis parti.