• Le scandale sexuel entre Eto'o et Nathalie Koah est toujours dans les têtes
• L’opinion publique n’a toujours pas digéré le comportement de Samuel
• Au besoin, elle en profite pour recadrer le président de la Fecafoot
La guerre de succession est lancée dans le camp du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) actuellement dirigé par Paul Biya. Son fils Emmanuel Franck Biya est pressenti pour lui succéder, entre autres personnes comme Ferdinand Ngoh Ngoh alias l’homme à la punk. Mais aussi, une nouvelle candidature de Paul Biya, aujourd’hui âgé de quatre-vingt-neuf (89) ans n’est pas à exclure.
L’homme politique a répondu à la question lors d’une visite du président français Emmanuel Macron il y a quelques mois.
« Comme vous le savez, le Cameroun est dirigé conformément à sa Constitution. D’après cette Constitution, le mandat que je mène actuellement à une durée de sept (07) ans », a déclaré Paul Biya.
Alors, « essayez de faire la soustraction et vous verrez combien de temps il me reste à diriger le pays », a répondu le président de la République camerounaise devant les personnalités présentes.
Le patron du RDPC a également affirmé que « quand ce mandat arrivera à expiration, vous serez informés sur le point de savoir si je reste ou si je m’en vais au village ».
Samuel Eto'o Fils a été mêlé à l’affaire après qu’une citoyenne appelée Kaarolle Maakondo Bis sur les réseaux sociaux a publié un message offensant.
« Samuel Eto'o Fils dit que Emmanuel Franck Biya est fils à papa. Lui il est quoi ? Un voyou et délinquant fiscal qui publie la nudité de ses copines ? », a lâché la personne susmentionnée.
Le journaliste web Michel Biem Tong est tombé sur le post et l’a commenté : « Ils disent être pour le changement mais ils défendent ouvertement Emmanuel Franck Biya au nom de la haine vis-à-vis de Samuel Eto'o Fils et dire qu’il y en a qui les prennent au sérieux ».
Une discussion est alors née avec d’autres observateurs : « Ils disent être pour le changement, ils disent défendre la cause des anglophones mais ils soutiennent quelqu’un qui a appelé à voter Paul Biya et qui ignorent la crise anglophone.
Quelqu’un qui mange le soya au NOSO sans gardes de corps car tout va bien », écrit un autre citoyen.