L’image est là, dans presque tous les téléphones Android, d’un mec qui a pour menu principal de son contenu internet, « les choses du lit », et qu’on dit être parmi les apollon de la republique.Il est bien là, affalé sur le lit, les parties génitales en l’air. Ce qui donne à penser qu’il vient de s’épuiser lors d’une partie de jambes en l’air éreintant. Si anéanti qu’il ne voit même plus la camera que sa campagne balade tel un drone espion sur son planteung. C’est en tout cas la capsule vidéo qui tourne de façon virale sur la toile depuis lundi et à qui le réseau social de Marc Zuckerberg a vite appliqué le qualificatif de « populaire » en ce moment. »
Disons-le, la pratique des nudes consentie ou non relève de la haute cruauté ; tant l’intention est de nuire. Pourtant dans la polémique abondamment animée par les influenceurs en guise de soutien à un des leurs, il est moins question de la pratique pénale que d’un détail physique observé sur la « victime ». Et depuis l’on ne glose que sur le format questionnable de son 3è pied. Difficile d’en sortir car sur un autre angle , les « je suis Nsang « veulent faire avaler à ceux qui en rient, qu’il pleut des flash pour cameras sur tous les pubis à l’intérieur des chambres.
C’est ici où il importe d’arrêter cette plaidoirie de condom percé. Une célébrité ça ne saute pas sur tous les kpetous du monde, au risque de finir en plein ébats dans les rigoles.
Qui plus est, jouer les avocats défenseurs n’est pas à la portée de tout influenceuse. A preuve qui a compris l’éloge au planteung de Nsang faite par la comédienne Diane Nama, pourtant nouvellement mariée?