L'activiste Shance Lion a publié un texte dans lequel il parle des dérives sociétales. Le citoyen cite même des noms et fait des révélations sur la manière dont l'homosexualité est promue sur le territoire, en dépit des lois du pays qui sont vraiment strictes sur la question.

En août 2021, sur cette plateforme, nous annoncions déjà que l'affaire que le Conseil national de la communication (CNC), l'organe qui régule l'audiovisuel au Cameroun, laisse diffuser librement dans nos chaînes de télévision et que les promoteurs et instigateurs laissent croire par subtilité, qu'il s'agirait de l'humour, n'en est absolument rien du tout.

Très appréciés de nos enfants en bas âge et de nos femmes et mamans dans nos foyers, Ma'a Jacky, de son vrai nom Vidal Choupo et de nombreux autres comme lui, financés par l'Occident pour promouvoir l'homosexualité dans notre société dès le bas âge, dès la racine et le fondement de notre tissu social : la famille, le foyer.

Un vrai régulateur de médias aurait déjà interdit la diffusion de ce type de programme sous toutes ses formes. Aujourd’hui, le grand vecteur de tout cette stratégie est bien sûr la télévision et les médias. Avec eux, nous entrons dans la diffusion de masse, la captation de masse. La télévision, c'est le truc qui tue, si je puis dire, la killer application. Avec elle, la psycho pouvoir industriel va entrer tout à coup dans des millions de foyers.

« La destruction des rapports de générations, tout cela revient à réfléchir au pouvoir immense du marketing sur une société devenue un troupeau de consommateurs ». Utilisant les analyses venues de Gustave Le Bon sur la psychologie des foules et les travaux de Sigmund Freud, il affirme que la foule ne pense pas, soumise à des pulsions et des effets collectifs, scellés dans le ça. Il faut donc moins la convaincre que la manipuler par des actions symboliques capables d'atteindre son inconscient.

Tous ces soi-disant comédiens, qui pour faire de "l'humour" doivent s'habiller comme les go et faire les manières des go, se font casser le derrière, sont financés par l'Occident à travers les organismes et autres ONG locales pour véhiculer les messages homosexuels au sein des sociétés africaines.