• Niat Njifenji a procédé à une nomination
• Le poste de secrétaire général adjoint n’est plus vacant
• Madame Awason Asaa Florence Fru l’occupe désormais
Il y a quelques jours, le président du Sénat, Niat Njifenji procédait à de nouvelles nominations au sein de son institution. Il s’agit en effet de la nomination du secrétaire général adjoint du Sénat, poste vacant depuis quelques temps.
Quelques jours après la nomination, une lettre a été adressé à Niat Njifenji. Il s’agit d’une lettre de félicitations du médiateur universel au président du senat.
« Monsieur le Président, le 28 Février 2022, je vous avais saisi pour solliciter, très respectueusement en citoyen et leader d’opinion attentif, pour solliciter des clarifications relativement à quelques imparités organiques et fonctionnelles, observées dans la structuration de la chambre haute dont vous avez la responsabilité première et temporaire, de la conduite du destin », lit-on.
« Entre autres préoccupations à l’instar de l’absence d’un organigramme de même que l’absence d’un Agent comptable, figurait en bonne place, l’absence d’un secrétaire général adjoint anglophone pourtant prescrit par les textes de base. Fort opportunément, je n’avais pas manqué de souligner la sensibilité de ce point, au regard de notre contexte politique, ainsi que des débats subséquents », poursuit la lettre.
« Je suis heureux que vous ayez été assez avisé, pour accorder la plus grande considération à mes doléances, et vous remercie d’avoir transmis leur substance au Président de la République, maître de l’horloge politique », a poursuivi la lettre qui a été adressée au Sénateur.
« Aussi, je vous prie d’avoir l’amabilité de transmettre à son Excellence Paul Biya, l’expression de ma sincère gratitude, pour sa prompte et diligente sagesse qui vient de se traduire concrètement, par la nomination de madame AWASON ASAA FLORENCE FRU, Magistrate hors hiérarchie, au poste de Secrétaire Général adjointe à la chambre haute du parlement camerounais », peut-on lire.
« Plus que jamais, l’écoute, le dialogue, la tolérance et la réconciliation, passerelles concrètes et incontournables du vivre ensemble, passent aussi par une attention soutenue, sincère, honnête, intelligente et transparente, à la gestion des nominations et des promotions de toutes natures à tous les niveaux de responsabilité des trois pouvoirs constitutionnels. Hautes et fraternelles considérations », conclut-on.