Personne ne s’attendait vraiment à une telle attitude de l’homme réputé dangereux et qui n’est plus à présenter vraiment, selon son entourage. Mais au même moment, certains proches du principal concerné disent qu’ils savaient qu’une telle chose allait finir par arriver un jour ou l’autre. Amougou est actuellement introuvable. Il a brusquement disparu dans la nature.

Toute la capitale Yaoundé et même l’ensemble du pays est scandalisé, rien qu’en voyant les images qui nous sont parvenues et que nous nous gardons de publier pour ne pas heurter la sensibilité de certaines âmes parmi les lecteurs. L’heure est grave.

« Comment un responsable, un père de famille, quelqu’un qui a pris des engagements peut se livrer à un tel écart de conduite ». « Une honte pour ce pays ». « C’est lâche, je croyais qu’il avait assez de c*ouilles pour rester et faire face à son délit ». « Il y a certains hommes pitoyables que Dieu aurait très bien pu déguiser en femme », etc.

Ce sont là quelques commentaires faits sur les réseaux sociaux par des citoyens furieux de ce qui s’est passé. Amougou est cette fois-ci allé très loin, lui qui prenait l’habitude de bastonner sa femme sans aucune pitié.

On ne cessera jamais assez d’attirer l’attention des autorités sur ce fait de société qui devient de plus en plus alarmant dans les quartiers, villes, coins et recoins de Cameroun : les violences conjugales.

À Douala, plus précisément à Bepanda, un homme violent a frappé sa femme et a percé son œil avant de prendre la fuite. On soupçonne qu’il s’est rendu à Yaoundé pour se cacher. « Ça va faciliter sa capture. De grâce, chères forces de l’ordre, lorsque vous l’arrêterez, ne l’amenez pas à Douala, enfermez-le immédiatement à Kondengui », tonne un citoyen.

Le mari violent s’appelle Amougou Foe. « Il a pris la fuite en direction de Yaoundé depuis quelques heures après avoir fait subir un ignominieux châtiment à la mère de ses trois (03) enfants. L’individu réputé violent l’a battue et a crevé son œil comme l’ont confirmé les médecins à l’hôpital Laquintinie. La place de cet animal c’est en prison », clame fort N’zui Manto. Ça, tout le monde est d’accord là-dessus.