Un vaccin contre le paludisme est très attendu au Cameroun pour lutter contre la maladie considérée comme l’une des plus mortelles au monde. Le ministre de la Santé Malachie Manaouda a déjà fait des déclarations sur ce vaccin.

Seulement, la célébrité Nathalie Yamb vient de jeter du discrédit sur le vaccin contre le paludisme au Cameroun. Nathalie Yamb s’est véritablement lâché sur Malachie Manaouda.

Yamb écrit sur X que « voici le ministre de la Santé du Cameroun Dr Malachie Manaouda qui jubile après avoir reçu 331 200 doses de Mosquirix et s’autoproclame même pionner en la matière ».

La dame de Sochi ajoute que « les pionniers en la matière sont les pays pilotes qui ont accepté de tester ce vaccin sur leurs enfants, c’est-à-dire le Kenya, le Ghana et la Malawi ».

En effet en 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonçait que « le Ghana, le Kenya et le Malawi étaient les pays africains qui faisaient partie de la phase pilote de l’administration du Mosquirix à 360 000 enfants, un projet qui s’étendait jusqu’en 2020 », rappelle le média Griote.

Nathalie Yamb est inquiète : « Plus de 100 pays ont réussi à éradiquer le paludisme sans vaccin, dont une dizaine en Afrique, mais les responsables de la Santé publique préfèrent se réjouir d’administrer des merdes sponsorisées par Bill Gates et son Gavi à nos enfants. Il y a eu l’épisode des vaccins Covid, mais ces gens refusent d’apprendre, ou alors, ils participent avec complaisance à la guerre menée contre nous ».

Malachie Manaouda a répondu : « Chère madame, vous aussi ! Avant de faire des déclarations péremptoires, rassurez-vous que vous avez la bonne information. PhD n’est pas un doctorat en philosophie. Pour votre gouverne, mon doctorat c’est en Sciences politiques, option Relations internationales ».

Nathalie Yamb lui adresse un message en retour : « C’est encore pire ! Donc avec tout ce bagage universitaire, c’est cette politique médiocre et asservie aux aides et intérêts étrangers que vous arrivez à nous sortir ? Donnez-nous le nom des universités qui vont ont formé, pour qu’on évite d’y envoyer nos enfants ».