• Valsero est toujours amer

• Il n’a pas fermé sa clinique

• Il met en garde contre l’imposture


C’est un général Valsero toujours amers qui vient de s’en prendre à une journaliste algérienne nommée Dounia Mesli. Depuis son arrivée à Yaoundé, cette journaliste a pris sur elle d’aller dans certains coins de Yaoundé, de se prendre en photo et de publier sur les réseaux sociaux. Cette campagne qui a des relents de publicité interpelle plusieurs. « Rappelez-vous des faux observateurs de transparence. Ouvrez vos esprits. Vous ne pouvez pas tomber dans la même arnaque mille fois. Utiliser le blanc pour faire avaler au noir un mensonge est une technique vielle comme le monde. Cette nana ce fout de vos gueules. Elle fait son job. Elle fait son KILAV aux frais de nos impôts. Elle se sucre comme tous les autres charognards. Avec arrogance. N’a-t-on pas dit que la Can est sucrée, tout le monde la suce », écris Valsero.
Accusations

Le rappeur Valsero lui-même est accusé d’avoir pris de l’argent. C’est un retournement de veste qui risque de faire mouche, en tout cas, le rappeur Valsero ne sera pas le premier à le faire. Il y a quelques jours l’auteur de « lettre au président » avait annoncé la fermeture de sa clinique, une chronique qu’il animait sur les réseaux sociaux et dans laquelle il passait le régime de Biya au crible. Personne ne s’est vraiment demandé pourquoi l’allié de Maurice Kamto avait choisi de lâcher son émission à un moment où les scandales se multiplient encore au Cameroun. Eh bien, c’est Serge Tamba qui viendra lâcher le morceau. Dans une vidéo qu’il vient de publier e qui fait la ronde sur les réseaux sociaux, l’animateur radio indique que Valsero a été corrompu par l’intermédiaire de l’animateur Martinez Zogo.

Selon Serge Tamba c’est donc par le biais de l’animateur de l’émission à succès embouteillage que le régime de Yaoundé est passé pour mettre Valsero dans le sac. Un homme d’affaire très introduit dans le régime confirme d’ailleurs que c’est cela qui s’est passé ajoutant que Valsero a eu des entretiens avec des pontes du régime. Même si l’homme d’affaire n’évoque pas le montant qui aurait été versé à l’artiste pour acheter son silence, il note quand-même qu’il s’agit d’un montant assez fort auquel l’artiste ne pouvait résister.