Au Cameroun, où plus de 600 000 personnes vivent avec le VIH, certaines populations sont particulièrement à risque.
C’est le cas des femmes enceintes, chez qui le taux de prévalence atteint 7,6%, posant de manière aigüe la question de la transmission mère-enfant. La maladie est par ailleurs de plus en plus répandue chez les jeunes, alors que les acteurs de terrain s’alarment d’une méconnaissance des adolescents en matière de prévention.
Pour permettre aux nouvelles générations de vivre sans le Sida, l’Unicef-Cameroun concentre donc ses efforts sur la prévention de la transmission mère-enfant et sur l’éducation des jeunes.
Une goutte de sang suffit pour déterminer si on est porteur du virus ou pas. Mais il ne s'agit pas d'un diagnostic définitif, insistent les autorités.