Actualités of Thursday, 15 September 2022

Source: www.camerounweb.com

Veuve arrêtée : des preuves irréfutables publiées, la cheffe de bataillon de Beti Assomo démasquée

Arrestation arbitraire au Cameroun Arrestation arbitraire au Cameroun


• Un problème de terre oppose une veuve et une cheffe de bataillon

• Les informations reçues font état d’une condamnation de la veuve

• Des vidéos explicatives ont été publiées sur les réseaux sociaux

C’est l’une des affaires les plus commentées en ce moment au Cameroun. La veuve est actuellement en prison de Mfou malgré qu’elle clame depuis le début son innocence et présente des preuves qui suffisent à la blanchir. Les indiscrétions sont qu’elle va y être maintenue pendant encore un moment.

Me Christian Bomo Ntimbane de la Société civile des réconciliateurs a publié des vidéos sur les réseaux sociaux pour montrer à tous et toutes que la veuve est bien innocente et n’a pas commis les faits qu’on lui reproche.

L’avocat camerounais a également ajouté du texte aux vidéos, dans lequel il dénonce une fois encore l’injustice commise par la cheffe de bataillon Ngono Marie Marguerite sous les ordres de la ministre de l’armée Joseph Beti Assomo.

Affaire de la pauvre veuve de Mfou

Une vidéo qui relate les faits exacts et non les faux reportages des journalistes retournés.



Voici le mur appartenant au chef de bataillon Mme Ngono Marie Marguerite, prétendument avoir été détruit par Mme veuve Amougou Evina née Ngono Marie Chantal en troisième capture.

Mur pour lequel cette dernière est incarcérée à la prison de Mfou depuis plus d'un mois maintenant et pour lequel, informée par plusieurs sources qui connaissent déjà la sentence prévue contre elle, elle sera condamnée demain vendredi 16/09/2022 par devant le tribunal de première instance de Mfou.

Mme veuve Amougou Evina née Ngono Marie Chantal est actuellement détenue à la prison de Mfou alors que ce mur n'a jamais été touché par qui que ce soit.

Mais la brigade de gendarmerie de Mfou aux ordres de Mme le chef de bataillon et même les magistrats en charge du dossier ont refusé d'aller constater parce que sachant que le mur n'a pas été cassé.

La pauvre veuve après avoir été battue par les gros bras de ce chef de bataillon et traînée nue devant ses enfants et la population sera pourtant condamnée pour des faits qu'elle n'a pas commis, sans confrontation entre les parties, sans débat contradictoire, sans avoir écouté ses témoins, comme dans une justice de deux poids deux mesures.