• La scène s'est passée à l'école la Réussite
• L'enfant a été traumatisé
• L'enseignant violeur aux arrêts
L'affaire a fait grand bruit. Une fillette de 2 ans a été violée. La scène s'est passée à l'école de bilingue La Réussite de Yassa. L'enseignant, n'ayant pas pu maîtriser sa libido, a violé allègrement la petite élève qu'il était censé enseigner.
Au sein de l'établissement scolaire, la mère de la victime est sujet de moquerie. Ce qui semble d'ailleurs à un complot contre sa personne. De sources concordantes, la maman de la victime dit être moquée par une enseignante de cette même école.
« On peut violer un enfant et elle marche sans boiter ? », tels sont les propos jetés à la figure de la maman de la petite Chloé sexuellement abusée.
En effet, la mère de la petite fille s'est rendue à l'école 3 jours après les faits pour rencontrer les responsables de l'établissement. C'est là que l'affaire a dégénéré.
Ce n'est pas la première fois qu'un tel crime se passe à Douala. Plusieurs de ces cas sont déjà signalés. Mais, que deviennent ces criminels une fois dans les mains des forces de l'ordre ?
Les faits
Le drame a eu lieu aux heures des cours et à l'intérieur de l'établissement scolaire. La petite Chloé, âgée de deux (2) ans et demi a été violée par l'enseignant Ndoum Alfred.
C'est la mère de la jeune victime qui va constater après la sortie des classes que sa fille ne cessait de pleurer et c'est après plusieurs observations qu'elle va découvrir du sang répandu dans sa culotte.
Elle va immédiatement conduire aussitôt l'enfant à l'hôpital où après des examens, sera établi un certificat médical confirmant le viol de l'enfant.
Après des enquêtes de la gendarmerie, l'enseignant sera interpellé et la victime de deux (02) ans et demi va clairement l'identifier comme celui qui a abusé d'elle. La famille de l'enfant a d'ores et déjà annoncé qu'elle portera plainte contre l'établissement.
« Je crois que la famille devrait faire un tour au village afin de castrer mystiquement et de manière irréversible ce mécréant à partir du caleçon taché de sang de notre petit ange. C'est infernal cet acte », suggère un observateur tout autant furieux que la famille.