De sources dignes de foi, le concerné « Daracing de Dubai » sur son compte personnel Facebook, TSAGUE NZALI Thomas de son vrai nom, est un homme d’affaires fictif, qui se dit fondateur d’une ONG basée en Arabie-Saoudite, dont le capital est estimé à 20 millions de dollars.
Les démêlés commencent lorsque des vidéos d’ébats sexuels avec des jeunes femmes, y compris des photos obscènes de lui font l’objet de partages sur les réseaux sociaux. De bouche à oreille, les nouvelles se répandent et explosent sur la toile lorsque certains internautes, laissent présager que l’une des jeunes filles aperçues sur les dites vidéos se serait suicidée, et que le sieur NZALI se trouve être porteur du VIH. Des thèses qui vont attirer l’attention de l’opinion publique nationale, et fera naitre de multiples condamnations.
Contacté par la rédaction du Quatrième Pouvoir, un proche de l’intéressé qui a souhaité garder l’anonymat, souligne : « à l'époque où l'actuel MINTRANSPORT, Edgar Alain Mebe Ngo’o était DGSN, il a profité de sa protection pour se réfugier ici au Cameroun après une escroquerie bien réussie en Arabie saoudite auprès de certains opérateurs économiques… Il continuera ses sales besognes au Cameroun en escroquant le SG du MINFI de l’époque Polycarpe Abah Abah la somme de 15 millions de francs sur une affaire de commerce d’or pur »
Selon des témoignages, « Quand il arrive à Bertoua entre 2008 et 2009, il achète un duplex au quartier ENIA, une villa au quartier pour ses parents. Ceux-ci quittent le quartier Bodomo pour aller s'installer au quartier radio. À sa fille, il verse une somme de 500mil francs. À ces deux petites donc l'une s'appelle Franckine il donne 1million à chacune d'elle… Il a même été arrêté et emprisonné à Bertoua en 2009 puis s’est évadé après une semaine de prison »
En outre, le sieur NZALI « a enceinté au moins 5 femmes depuis deux mois et 12 enfants » à son actif poursuit un riverain de Bertoua. « Il avait des complices, d’autres sont en prison, son frère lui est décédé de suite d’empoisonnement lié à ces pratiques…Ses amis étaient Alain de Paris et Émile Tagne lorsqu’il était à Bertoua. »
Par ailleurs, un ancien compagnon de route, nommé Eddy Boukar résident à Dubai a récemment décrié ses actes odieux via un direct sur sa page Facebook, en précisant que l’homme qui selon vraisemblance, vit à Douala actuellement, continue dans cette malheureuse lancée en filmant lui-même ses ébats sexuels « avec le consentement de ces filles », mentionne Nzali sur sa page officielle.
Le concerné nie catégoriquement avoir filmé les dames, mais plutôt qu’il s’agirait d’un de ses amis qui se serait livré à ces actes. Annonçant un direct sur son profil officiel ce Lundi 19 Février, M. Nzali qui a présenté ses excuses publiques continue de rejeter toute responsabilité et poursuit en brandissant ses résultats sanguins de test de VIH selon lesquels il serait séronégatif.
Une situation qui n’a su laissé indifférent bon nombre d’internautes notamment de femmes, qui s’indignent de l’attitude de ces jeunes filles qui acceptent commettre de telles bassesses. Plusieurs interrogations fusent dès lors : En acceptant de se faire filmer lors de rapports sexuels, les femmes concernées auraient-elles perdues le gouvernail de leurs vies au profil de quelques liasses ? Faire découvrir au monde son intimité serait un acte banal ? dénué de toute signification au sein de culture africaine auquel le respect de soi est une valeur vitale ? Des adultes qui acceptent de se livrer à tels agissements ont-ils encore toute la clarté de la société ancrée dans leur esprit ?
L’on se souvient de l’allocution du président de la république à la jeunesse le 10 Février dernier qui a soulevé l’influence des réseaux sociaux, être des « internautes patriotes » reste aussi toujours d’actualité.