Le trafic d’organes humains est devenu une pratique courante au Cameroun pour les criminels qui essaient de se faire de l’argent sans vouloir travailler de façon qui les honore. Il est de notoriété publique que des hauts placés de l’administration sont souvent accusés de faire des sacrifices humains nécessitant des assassinats et des démembrements des victimes choisies sur des critères.
Des révélations intrigantes ont été récemment faites par l’activiste Jacques Jorel Zang qui pointe du doigt les agissements du beau-père de la députée à l’Assemblée nationale Nourane Moluh Hassana Fotsing plus connue sous le nom Nourane Foster.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, le lanceur d’alertes a écrit ce qui suit : « Selon Patrice Nouma dans une de ses vidéos datant du 14 mars 2023, le beau-père de la députée Nourane Foster le nommé Tanekam est un grand vendeur de... je n'ose même pas prononcer.
Et ce n'est pas tout... Il se pourrait qu'il y a quelques années il aurait été surpris par des bandits qui lui auraient intimé l'ordre de violer sa propre fille (une certaine Nathalie) mais recoupements faits par la suite c'était une stratégie bien ficelée par le concerné pour commettre son inceste à des fins occultes. La Nathalie en question avait dû fuir Bafoussam quand le scandale a éclaté et n'a jamais pu faire des enfants.
Connaissant un peu le sérieux de ce monsieur avec ses informations pointilleuses, je ne suis pas du tout surpris surtout connaissant la soif de pouvoir de ce couple. Suite à cette publication que j'ai faite en matinée, la famille Tanekam m'a contacté pour me donner leur version par rapport à cette histoire que je viens vous donner comme suit.
Selon la famille donc leur papa le sieur Tanekam a été au centre d'une cabale orchestrée par des personnes tapies dans l'ombre. En effet tout par de la découverte macabre au quartier Kouogouo le samedi 27 juin 2015 du corps d'une petite fille mutilée de onze (11) ans qui se prénommait Emmanuelle Nana dans un puit dans une concession familiale et d'une lettre à citer du puits incriminant leur papa d'être à l'origine de cette mort.
C’est cette lettre qui aurait été à l'origine de l'arrestation de leur papa avec trois (03) autres co-accusés dont les deux (02) personnes qui avaient trouvé la lettre à proximité du puits. La lettre aurait été trouvée trois (03) jours après la découverte macabre et juste à côté du puits en question et remise par deux (02) personnes qui feront partie des co-accusés, les nommés Georges Fongang et Apollinaire Noumbi.
C'est après dix (10) mois suite à des investigations dans les maisons de toutes ses épouses et autres qu'il sera libéré avec ces co-accusés pour "faits non établis" par le président du TGI de la Mifi de l'époque le sieur Armand Kisito Ndzana.
PS : À chacun d'en tirer sa conclusion mais fidèle à ma ligne qui voudrait que je sois équitable dans le traitement de l'information, je me devais de publier la version familiale par soucis d'équité ».