Actualités of Saturday, 3 December 2022

Source: www.camerounweb.com

Violence : un employé de Louis Paul Motaze bastonne sa femme et se retrouve en danger

Violences faites aux femmes Violences faites aux femmes

Les violences commises sur les femmes ont beau être condamnées et sanctionnées, elles ne s’arrêtent toujours pas. La faute à des hommes excessivement brutaux qui ne peuvent pas s’empêcher de lever la main sur leur femme qu’ils ont pourtant juré d’aimer et de chérir jusqu’à ce que la mort ne les sépare.

La capitale politique du Cameroun a été encore témoin d’un nouveau cas de violence faite à une femme. L’homme est employé dans la fonction publique.

Selon les explications du lanceur d’alerte N’zui Manto, il travaillerait au ministère des Finances dirigé par Louis-Paul Motaze.

Au Cameroun, le ministre des Finances est responsable de l'élaboration et de la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière financière, budgétaire, fiscale et monétaire.

On peut lire sur les réseaux sociaux le texte de Manto qui dit : « Violences conjugales. Yaoundé. Un fonctionnaire du ministère des Finances souffrant de jalousie maladive tabasse sauvagement la mère de son enfant qu'il soupçonne de le tromper ».

En effet, « l'homme violent s'appelle Ahanda Ekotto Landry en fonction au ministère des Finances et travaillant également à la cave by Paris située à la Texaco omnisports en face de la pharmacie la colombe ».

La source susmentionnée précise que « l'homme violent qui souffre de jalousie convulsive soupçonne la mère de son enfant de le tromper à chaque fois que celle-ci tarde à répondre au téléphone, quitte la maison pour aller au travail ou se fait approcher par un inconnu ».

« Sa victime, habituée à ses coups, avait mis fin à la relation avant de revenir sur sa décision influencée par la famille du bourreau », apprend-on.

N’zui ajoute qu’il « lui avait alors promis qu'il changerait, mais l'animal étant fidèle à son animalité, Ahanda Ekotto cette fois-ci a voulu la tuer, excité par la jalousie dont il souffre ».

« La première violence est verbale. N'attendez pas les coups, partez. Un homme violent ne change jamais », conseille-t-il.