• "L’homme à la punk" est un surnom de Ferdinand Ngoh Ngoh
• On le surnomme également le "vice-dieu"
• Un troisième sobriquet vient de lui être attribué
Le Secrétaire général de la présidence de la République (SGPR) Ferdinand Ngoh Ngoh est un homme puissant du régime, c’est un fait. Le chef de l’Etat camerounais Paul Biya lui accorde beaucoup d’importance et de pouvoir. Il est dans les rouages de la gouvernance depuis plusieurs années et ne bouge pas de son fauteuil. Suffisant pour lui donner des surnoms de puissance et de force.
Outre "l’homme à la punk" ou "vice-dieu", Ferdinand Ngoh Ngoh vient de se voir donner un autre surnom. C’est un journal qui a trouvé la formule.
Les parutions papier du jeudi le 22 septembre 2022 sont sorties et disponibles dans les kiosques. L’un des journaux dont la Une a été publiée sur les réseaux sociaux est "Repères" qui a désigné Ferdinand Ngoh Ngoh de « mouton noir de la République ». « Ferdinand Ngoh Ngoh, le mouton noir de la République », peut-on lire à la manchette.
Selon wikipédia, le « mouton noir » est une métaphore désignant une personne considérée comme marginale dans un groupe. Cette expression est utilisée de manière idiomatique dans plusieurs langues. Elle tire son origine du contraste entre la proportion de moutons blancs (habituels et majoritaires) et de moutons noirs (généralement minoritaires) dans les troupeaux d'ovins. En russe, c'est la « corneille blanche » qui est utilisée.
Le terme est utilisé pour décrire une personne d'aspect physique différent de son entourage et que certains réprouvent. L’expression stigmatise des personnes en raison de leur origine ethnique et par extension de leur appartenance religieuse, de leur classe sociale ou de leur profession.
Le « mouton noir » est parfois utilisé en lieu et place de « brebis galeuse ». La brebis galeuse était un animal malade (porteur ou non de la gale) que l'on tenait à l'écart du troupeau, afin de prévenir tout risque de contamination. Au sens figuré, l'expression désigne en fait une personne dont les opinions et le comportement sont jugés déviants et qui sont tenus à l'écart de la communauté.
Dans le palais d’Etoudi, Ferdinand Ngoh Ngoh n’est certainement pas tenu à l’écart, lui qui a reçu a été élevé au rang de ministre d'Etat au sein du premier gouvernement Joseph Dion Ngute avec délégation de signature du chef de l'Etat.