• Valère Bessala a été chassé de Vision 4
• Il est revenu sur ses relations personnelles avec Amougou Belinga
• Il dit ne avoir aucun contact particulier avec le PDG
Valère Bessala a été chassé de Vision 4, le média du milliardaire camerounais Jean-Pierre Amougou Belinga. L’analyste est revenu à la charge pour parler de sa relation avec le zomloa. Pour Valère, Vision 4, c’est la chose d’Amougou Belinga et il en fait ce qu’il veut, il invite qui et quand bon lui semble.
« Pour le peu que je sache, je n’ai aucun problème avec personne dans ce média. Je n’ai jamais été en contact de quelque manière que ce soit avec le PDG du Groupe l’Anecdote. Donc je n’ai aucun rapport de quelque nature que ce soit avec lui. C’est d’ailleurs un ainé pour lequel j’ai beaucoup de sympathie, non seulement pour son intelligence et sa flexibilité en ascension, mais aussi pour sa résilience en réseau », a révélé Valère Bessala à nos confrères de Médiatude dans une interview.
« La seule personne avec laquelle j’ai des liens serrés dans ce média, c’est naturellement le talentueux présentateur Bruno Bidjang. Et nos rapports, en plus d’être ceux d’ainé et cadet, sont restés d’amicalité et de convivialité », poursuit Bessala.
« Le PDG du Groupe L’Anecdote est indissociablement et indéniablement un vecteur et facilitateur majeur de l’avancée, ainsi que de l’enracinement de la philosophie, de la logique et du combat pour un pouvoir jeune. Personne ne pourra le lui enlever. Nous le garderons toujours dans nos consciences et nos mémoires. Maintenant, ce média (Vision 4), c’est sa chose. Il (Amougou Belinga) en fait ce qu’il veut. Il invite qui et quand bon lui semble… je vais partout là où la voix de la jeunesse camerounaise peut se faire entendre », a confié Valère Bessala.
« Vous savez, l’argent et le pouvoir aveuglent l’être humain. Ils lui font faire généralement de très mauvais choix, surtout lorsqu’il n’y prend pas suffisamment de distance. Ils peuvent même l’amener à ne point distinguer les laudateurs ou serpents qui l’enroulent patiemment aujourd’hui pour lui briser la colonne vertébrale demain, lorsqu’il sera totalement encerclé et affaibli. L’argent et le pouvoir peuvent amener un homme bon à ignorer ce chien qui aboie dans sa cour pour l’avertir des dangers qui rôdent au dehors », a expliqué Valère à nos confrères.