Le 6 novembre 2021, le fils du Président Paul Biya était à Foumban. Franck Biya est allé, comme tous les autres Camerounais, essuyer les larmes au nouveau Sultan, qui a perdu son géniteur Ibrahim Mbombo Njoya.

Le bavardage médiatique qui a suivi n’est que montages pour nuire à l’image de l’Homme sans problème Franck Biya. Depuis que le peuple Bamoun et tout le Cameroun ont dit adieu au Sultan Ibrahim Mbombo Njoya, on note le passage des personnalités de divers rangs au palais royal à Foumban.

Le nouveau Sultan est même submergé. S.M Nabil Mbombo Njoya reçoit tout le monde. Ils viennent le saluer, lui adresser les condoléances, lui faire allégeance, prendre ses contacts, nouer des relations avec lui. On peut bien comprendre le défilé qu’on constate à Foumban. Tout le monde veut voir le nouveau Sultan Roi des Bamoun. En trois décennies de règne, Ibrahim Mbombo Njoya était en contact avec le monde entier. Ce sont toutes ces composantes qui défilent à Foumban depuis son inhumation.

FRANCK BIYA NE POUVAIT PAS RESTER INSENSIBLE

Le déplacement du 6 novembre 2021 au palais royal de Foumban n’avait aucun autre calcul que les raisons soulignées plus haut. Franck Biya est un être humain, un Camerounais. Il était indisponible le jour où se tenaient les obsèques du Roi. Du vivant du défunt Roi, il rencontrait souvent S.M Ibrahim Mbombo Njoya et l’appelait papa, révèle une source crédible. Il était donc normal que Franck Biya aille faire son TOUR DU DEUIL. En 2 heures, il l’a fait le 6 novembre dernier. Le nouveau Sultan Roi et Franck Biya se découverts. Ils ont échangé.

Le fils de Paul Biya, comme les autres Camerounais l’ont fait, lui a adressé ses condoléances et ses encouragements. Et Franck Biya est rentré à Yaoundé. Le Roi Nabil Mbombo Njoya est entre ces audiences et les rites traditionnels. Il est aussi préoccupé par la connaissance du royaume Bamoun et du palais royal où il va passer toute sa vie. Franck Biya était à Foumban faire sa part de tour du deuil, comme les autres. Vraiment laissez-le un peu en paix avec vos commérages