Dans les évènements spéciaux auxwuels elle participe, il est difficile de ne pas remarquer les coiffures très imposantes de la Première dame du Cameroun, Chantal Biya.

Les coiffures de la femme de Paul Biya ont même attiré l'attention du très respecté journal The Washington Post qui a consacré tout un article sur ces derniers.

Mais qui est la coiffeuse de la Première dame? Selon Jorel Jaques Zang, il s'agit de Mme Branca, une coiffeuse d'origine française vivant en Suisse. Les coiffures, ou plutôt les perruques de cette dernière coûtent à partir de 1500 dollars.

Lison plutôt Jaques Zang

"Les coiffures de Chantal Biya qui sont en réalité des perruques sont du "made in Geneva" c'est à dire fabriquées à Genève en suisse…

En effet Chantal Biya a recours depuis plus de 15 ans aux services d'une française d'origine balkanique du prénom de Branca qu'elle a connue comme coiffeuse dans une enseigne très réputée et surtout très coûteuse de soins capillaires juste à deux rues du palais de l’Elysée en France.

Chantal Biya a tellement été satisfaite de son travail sur ses cheveux qui répondait tout à fait à ses attentes qu'elle fera déplacer celle qu'elle considère désormais comme sa coiffeuse attitrée de la France à la suisse au frais du contribuable.

Branca va donc arriver grâce à la générosité en milliers d'euros de sa cliente vip à ouvrir son propre salon de coiffure à la rive gauche à quelques encablures des bords du lac Léman où elle confectionne des heures durant des dizaines de volumineuses et monumentales perruques extra-chères de sa cliente de luxe qui sont ensuite placées de manière délicate sur des fausses têtes en plastique et le tout dans des grands cartons avec pour direction soit l'hôtel intercontinental pour des heures d'essayages de Chantal Biya où alors dans l'avion présidentiel pour le Cameroun.

Ces perruques dont le prix minimum unitaire est de 1500 euros demandent une énorme patience dans leur confection et elles sont faites à partir de dizaines de milliers de vrais cheveux asiatiques qui sont à la base décolorés et traités avec des produits extrêmement coûteux et colorés à nouveau avec des tons plus fauves et vifs selon les exigences de Chantal Biya…"